1. les Amazones - Épisode 4


    Datte: 04/09/2020, Catégories: fhhh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, historique, aventure, historiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... dégoûté au début, mais il faut bien s’y faire. Et chaque nuit, elle se sert de moi, s’amusant à tester ma vigueur. Elle use de ses doigts, de sa langue, de sa bouche, de tous ses orifices pour me faire cracher ma semence et moi, comme un misérable. J’attends la tombée du jour et ce moment avec de plus en plus d’impatience, comme un chien qui mendie sa caresse. Si je pouvais, je saisirais ses cheveux à pleine main pour enfoncer ma queue au plus profond de sa gorge. Je la basculerais sur le ventre pour m’enfoncer au plus profond de ses reins et la labourer jusqu’à l’entendre crier grâce. Mais c’est elle qui commande et qui décide.
    
    Parfois, cruelle, elle me suce jusqu’à l’extrême limite de mes forces et me laisse ensuite jouir dans sa main ou entre ses seins, s’amusant de mon gémissement de frustration de voir la chaleur de sa bouche et la douceur de ses lèvres m’échapper. Elle me tient et elle le sait. À quoi peut bien ressembler son village ? Et son peuple ? Je ne donne pas cher de ma peau si ses « sœurs » sont aussi exigeantes, aussi folles de leurs corps. Je devine maintenant comment les captifs dont elle parlait sont morts. Ces malheureux ont dû périr d’épuisement, vidés jusqu’à la moelle par ces diablesses. Mais je pense aussi à Isabella qui me châtrerait sur place si elle pouvait être témoin de ce qui se déroule ici.
    
    Cela aura duré des jours et des jours, mais nous voilà enfin arrivés. Je distingue les berges et une foule qui grossit à vue d’œil. Je suis quelque ...
    ... peu déçu. En fait de cité et de palais, c’est plutôt un immense village, un rassemblement de grandes cases sur pilotis qui semble s’étendre sur des dizaines de lieues le long des rives du fleuve. Je vois des champs cultivés, beaucoup de champs. Et, Sainte Mère de Dieu ! Il n’y a que des femmes. Elle disait donc vrai, elles existent bel et bien. Les Amazones, les voici enfin. Maureen me détache et me fait signe de quitter cette fichue pirogue. Je suis libre, ou presque. Et quelle ne fut pas ma surprise. Je pensais débarquer au milieu de sauvageonnes dépoitraillées et belliqueuses. Je n’aperçois que des visages curieux, voire aimables. Beaucoup d’entre elles sont vêtues, oui vêtues, de robes fines, faites d’une laine semblable à celle de ces curieux moutons du Pérou. Elles sont constituées d’une pièce de tissu enroulée sous la poitrine et qui descend jusqu’aux pieds. D’autres vont et viennent naturellement, l’air farouche, aussi nues qu’au jour de leur naissance, armées d’arc et de flèches.
    
    Ces guerrières sont toutes très jeunes, couvertes de peinture noire, couleur de la guerre chez beaucoup de tribus indiennes. Le rôle de chacune tient-il à une classe d’âge ou à la naissance ? Ce peuple est-il en guerre avec ses voisins ? Et ce n’est pas là ma seule source de questionnement. Je vois toutes les carnations de peau, toutes les couleurs de cheveu. Ici, c’est une mulâtresse aux seins magnifiques et à la cambrure insolente qui rappelle ces filles que j’avais vues dans un préside ...
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