Le pas du cheval du chevalier (parodie) - Histoires de Sexe

Le pas du cheval du chevalier (parodie)

... Pélagie pour remarquer quoi que ce soit.

La jeune femme enlève maintenant son soutien-gorge de ses mains tremblantes. Puis sa culotte. Elle fixe Armand droit dans les yeux, et celui-ci soutient son regard, à la fois troublé et amoureux. Elle lui sourit, mais ce sourire est tendu.

Sans le lâcher du regard, elle passe une main légère sur ses seins libérés, attrape un téton, qui se durcit immédiatement entre ses doigts. Elle le tortille un peu, gémit, puis passe à l’autre. Ses yeux se voilent. De son autre main, elle se branle profondément, à deux doigts, les cuisses toujours ouvertes en grand. Ses mollets reposent sur les accoudoirs du fauteuil. Quand elle le veut, elle peut être très souple…

Elle sort ses doigts de son intimité brûlante, vient les lécher, ne quittant pas Armand du regard. Celui-ci a envie de la rejoindre. Mais foutredieu ! Il n’a pas envie de tout gâcher en agissant trop tôt…

Elle lui sourit encore, tout en enfonçant à nouveau ses doigts dans sa fente humide, avec lenteur et habileté. Sa main commence des allers-retours bougrement rapides. Vigoureusement, elle se pénètre de ses doigts, qu’elle remue à l’intérieur d’elle avec savoir-faire. Une grimace traverse son visage si délicat. Ses mouvements deviennent saccadés. Sans fermer les yeux, elle jouit encore, dans un cri.

Personne ne parle. Anatole, le visage en feu, sans bouger du canapé, se branlant toujours, regarde Pélagie. Armand ne sait pas quoi faire. Pélagie semble vidée, ailleurs. ...

... Soudain elle se lève, oscille un peu, puis se met à quatre pattes sur le tapis, devant le feu.

Elle jette un coup d’œil à Armand. Nom de Dieu ! Elle l’invite ! Mais Armand a perdu tous ses moyens. C’est quoi cette position ? Il n’a pas tant fait l’amour que ça dans sa vie… Que faire à présent ?

Éperdu, il implore Anatole de prendre les choses en main. Son majordome hoche la tête, se lève et vient s’agenouiller derrière Pélagie, qui paraît flotter dans un autre monde, les yeux désormais clos. Ses cheveux blonds coulent comme une cascade sur le tapis. La bouche entrouverte, elle attend un sexe de tout son corps, les reins cambrés en arrière.

Anatole ouvre sa ceinture, et descend son pantalon noir sur ses genoux. Il ne porte rien en-dessous. Son membre bandé décrit une belle levée, tout près des cuisses de Pélagie. Celle-ci s’agite, dans un gémissement. Nouvelle invitation, plus insistante.

Anatole prend son sexe et le dirige vers l’intimité ouverte de Pélagie. En sentant ce doux contact contre sa peau tendre, elle a un frémissement. Puis elle sursaute carrément, lorsque le majordome s’enfonce en elle, doucement au début, puis plus violemment, à mesure que son sexe se glisse dans l’onctuosité de la jeune femme. Elle le happe en elle, sans un bruit.

Il bute alors, et commence à lui labourer les entrailles. Pélagie gémit. Puis crie.

— Armand, Armand… balbutie-t-elle.

Mais le jeune homme est désemparé. Il regarde son serviteur baisailler la femme qu’il aime. Il ne ...