1. Le pas du cheval du chevalier (parodie)


    Datte: 03/09/2020, Catégories: fhh, inconnu, bizarre, forêt, Masturbation pénétratio, délire, Humour Auteur: Lilas, Source: Revebebe

    ... pulls.
    
    Pélagie sourit, et commence à déboutonner son jean. Elle le descend sur ses cuisses, puis sur ses mollets. Elle pourrait s’arrêter là. Elle a bu de la goutte, assez pour lui échauffer les sens, mais pas assez pour ne pas être consciente de ce qu’elle fait. Il faudrait qu’elle s’arrête là. C’est une question de bon sens.
    
    Mais tout, dans cette journée, a été d’une irréalité grotesque. Autant la finir jusqu’au bout.
    
    Elle passe sa main dans ses cheveux, avec sensualité, regarde les deux hommes qui ne perdent pas une miette de ses gestes. Armand est troublé. Anatole est excité. Elle voit une bosse déformer son pantalon noir, sous la ceinture.
    
    Cette vision excite davantage encore la jeune femme. Elle pose un doigt sur ses lèvres, les caresse délicatement. Armand semble hypnotisé. Anatole fixe ses jambes nues. Elle s’assied sur un fauteuil, devant eux. Elle ouvre les cuisses. Leurs regards plongent directement entre ses jambes, dans la contemplation de sa culotte noire, un peu bombée par les poils de son pubis.
    
    — Alors messieurs, vous n’avez toujours pas retrouvé la mémoire ? s’enquit-elle d’un air candide.
    
    Évidemment, aucun des deux hommes ne prend la peine de lui répondre. Anatole a glissé sa main dans son pantalon, presque sans avoir l’air d’y penser.
    
    Armand louche sur son entrejambe, sans piper mot. Le chevalier a bien piètre allure, sans son armure, ses babioles sans intérêt, sa fausse épée en plastique et le casque de moto à visière noire qu’il a dû ...
    ... voler elle ne sait où. Pourtant, elle le trouve touchant. Sa préférence va à Armand.
    
    C’est en le regardant qu’elle s’enfonce dans le fauteuil, calant son dos contre le dossier, et soulève les jambes, qu’elle écarte toujours. Le jeune homme rougit. Elle constate qu’il a une érection d’enfer, lui aussi, sous son pyjama.
    
    Toujours en le fixant, elle pose une main sur son ventre nu. Elle frémit. L’idée d’exciter ces doux dingues la rend folle. La main de la jeune femme rampe vers sa culotte en dentelle noire. Elle la glisse sous l’élastique, et vient tâtonner entre ses poils, à la recherche de son clitoris. Elle le trouve enfin, et ferme un instant les yeux. Son intimité est chaude et humide. Pélagie sourit encore.
    
    Elle écarte largement le bord de sa culotte, révélant à la vue des deux hommes une toison blonde épaisse. Anatole en salive. Armand rougit davantage encore.
    
    Les yeux noirs de Pélagie brillent intensément. Elle se caresse devant eux, leur montrant son doigt qui va-et-vient contre le rose luisant de son clitoris érigé, entre les poils blonds. Un petit filet de liquide blanc s’échappe de sa fente trempée. Elle l’étale délicatement contre le bouton gonflé, puis se masturbe enfin, très vite, tant est grande son excitation. Ça lui fait un grand choc électrique dans tout le corps. Elle jouit tout de suite, par à-coups, dans un long gémissement.
    
    Anatole n’éprouve plus aucune gêne à se caresser devant eux. De toute manière, son maître est trop occupé à contempler ...
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