1. Vacances en amoureux


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, vacances, forêt, caférestau, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, couple, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... relève doucement.
    
    — Tourne-toi.
    
    Elle me regarde. On n’échange pas un mot. Je sens une hésitation. Je sais qu’elle comprend où je veux en venir. Si elle ne se tourne pas, ce sera un signe. Signe qu’elle ne veut plus penser au passé. Si elle se retourne, ce sera sa façon de me dire « je n’ai pas oublié, mais cette fois je veux que ce soit toi qui dirige le jeu ».
    
    Un petit sourire et doucement elle se tourne, offrant à ma vue son joli dos bronzé et ses belles fesses à peine un peu plus blanches. Inutile d’en dire plus, elle a pris la même position, mains en appui et croupe cambrée, que lorsqu’elle partait avec Jean-Pierre à l’étang. Elle a compris. Elle a envie de jouer. Et moi aussi.
    
    Toujours sans un mot, je me sers de son débardeur pour lui bander les yeux. Elle ne proteste pas. Au contraire, elle accentue sa posture impudique, écartant ses cuisses, cambrant ses fesses. Je me suis éloigné pour me dévêtir à mon tour. Silencieux, je m’approche, mettant juste mon gland au contact de sa raie. Je ne bouge pas. Elle n’en peut plus. C’est elle qui commence à se contorsionner pour être prise.
    
    Ne pas parler, surtout ne rien dire. La laisser dans son film.
    
    Je ne sais pas à qui elle pense, je ne veux pas le savoir. Mon sexe est dur à me faire mal. À force, elle est arrivée à amener mon sexe à l’entrée de sa vulve. Pas question de sodomie, ce sera pour plus tard, peut-être. Je sais que je dois reproduire presqu’à la lettre ce qu’elle a vécu il y a sept ans. Elle bouge ...
    ... ses hanches cherchant à être prise. Femelle en chaleur. À bout, elle murmure puis elle crie :
    
    — Baise-moi !
    
    Je fléchis un peu les genoux et je la pénètre. Jamais je ne l’ai trouvée aussi mouillée. Volontairement je fais des mouvements lents. Elle ondule des hanches. J’empaume ses seins tendus. Elle s’empale du plus qu’elle peut sur mon sexe tendu, ses mouvements sont de plus en plus rapides. J’attends son exigence, je sais qu’elle va venir :
    
    — Prends-moi… plus fort !
    
    Je sais maintenant à qui elle pense, mais ce n’est pas grave. Maintenant, le plaisir est pour moi. Je m’exécute et je me mets à la pilonner sauvagement, répondant à son attente. L’assaut devient violent, c’est ce qu’elle voulait. Elle gémit, puis crie son plaisir. On jouit presqu’en même temps. Je tire sur le débardeur qui lui sert de bandeau. Elle a compris aussi, elle tourne son visage vers moi. Toujours emboîté en elle, nous échangeons un long baiser.
    
    Je me retire doucement. Je m’éloigne pour me rhabiller. Je patiente. Quelques minutes après, je fais ma réapparition. Elle est debout, rhabillée. Regardant au loin la côte Vermeille. Je me colle amoureusement contre elle.
    
    — Tu en as mis du temps à me retrouver, mon chéri.
    — Oui, je crois que je me suis perdu.
    
    Elle se tourne vers moi. M’embrasse tendrement.
    
    — Je crois qu’on va passer de très belles vacances, mon chéri. Je suis bien avec toi.
    — J’en suis persuadé aussi. Tu es si belle que je vais faire des jaloux.
    — Ne t’inquiète pas. ...