1. Vacances en amoureux


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, vacances, forêt, caférestau, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, couple, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... dire ? On se fait bouffer par le boulot, les enfants, on n’a pas de vie. On a 35 ans et on vit presque comme des vieux. On ne sort jamais. Il faut qu’on se bouge.
    — Tu as raison. On va se bouger. Je n’aime pas trop sortir, danser, mais je te promets que je vais faire un effort. Tiens, ce soir il y a une soirée sardane, on va y aller. Et ensuite, on ira dans ce petit bar de musiciens et d’artistes où j’ai toujours refusé d’aller, mais où toi tu as tant envie de finir une soirée…
    — Oh merci mon amour, ça c’est super sympa. En attendant, tu ne trouves pas qu’il fait très chaud sur ce sentier ?
    — Si mais…
    — Viens, on va aller à l’ombre dans la pinède. Je ferais bien la sieste.
    
    Elle a dit ça avec un air espiègle. Je la suis. Elle avance en ondulant des hanches. Qu’elle est belle dans son petit short et son petit débardeur ! Même ses grosses chaussures de randonnée ne lui enlèvent pas sa sensualité. Elle s’enfonce dans le sous-bois. Tout en marchant, je la vois faire passer son débardeur au-dessus de ses épaules et le laisser tomber au sol. Je suis à deux doigts de lui dire « mais que fais-tu ? ». Je me ravise. Il ne faut pas rompre le charme. Au contraire, il faut entrer dans son jeu, même si au fond de moi, remontent les images de la scène de l’étang. Je m’arrête pour la laisser prendre de l’avance. J’ai deviné que, comme dans « Le petit poucet », elle laissera des petits cailloux pour que je retrouve sa trace. Gagné. Mais les petits cailloux sont d’une toute autre ...
    ... nature. Je reprends ma marche. Sur le sol, un soutien-gorge bandeau, puis un short, une puis deux chaussures, une puis deux chaussettes et enfin une petite culotte blanche en coton. Je me relève.
    
    Tout est silencieux. Un souffle de tramontane fait à peine bruisser les pins. Je jette un regard circulaire. J’aperçois une jambe derrière un tronc d’arbre. Je le contourne. Elle est là avec ce regard que je n’ai pas vu depuis longtemps. Ce regard qui est une invite à la prendre. Je la contemple en silence. Elle est encore plus belle qu’avant. Les maternités n’ont pas abîmé son corps, au contraire. Elles ont un peu plus marqué ses hanches, un peu alourdi sa poitrine. Ses seins plus pâles, sur son corps déjà bronzé, pointent. Ils attirent mes mains, ma bouche. Ma langue excite ses tétons sombres qui sont déjà durs de désir. Appuyée contre l’arbre, nue en pleine nature, elle s’offre à moi totalement. Enfin !
    
    Doucement, mes mains l’effleurent, faisant monter son plaisir. Je prends mon temps. Je veux profiter de cet instant avec elle, le faire durer un maximum. On ne parle pas. Elle ne bouge pas ou si peu. Elle écarte un peu ses jambes pour laisser ma bouche qui glisse sur sa toison partir à la recherche de son petit bouton. Elle est trempée. Ses poils noirs collent déjà sur sa jolie peau mate si douce en haut de ses cuisses. Ma langue se fait très indiscrète. Elle entre en elle, ressort, joue avec son bouton d’amour. J’entends un premier gémissement. Son bassin commence à onduler. Je me ...
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