La filière bulgare 03 : Evasion Punition Dressage - Histoires de Sexe

La filière bulgare 03 : Evasion Punition Dressage

... se déshabille. C’est une femme superbe, à tomber par terre. Elle me chevauche et me présente sa chatte pour un cunnilingus. Elle dégage une agréable odeur de femme fraîche et je ne me fais pas prier. Je commence par de longs coups de langue sur ses lèvres déjà bien mouillées et montre ostensiblement que j’avale ses secrétions. Elle gémit et soupire doucement. Je prolonge me coups de langue jusqu’à son clitoris. Elle lâche un cri de plaisir et s’avance davantage. J’ai maintenant le bout du nez sur son clito et ma langue au plus profond de sa chatte. Je la travaille de la langue et du nez, sans précipitation. J’ouvre la bouche en grand afin de lui couvrir toute la vulve et j’aspire délicatement les liquides qu’elle me distille tout en continuant mon travail de la langue te du nez.

Elle m’attrape par les oreilles et me tire en elle autant qu’elle le peut. Se rendant compte qu’elle limite ainsi mes mouvements, elle me relâche et je reprends mon œuvre.

- Oooh ! Moi jouir !

Elle laisse son plaisir l’envahir, s’allonge sur moi et attend que son excitation diminue puis s’empale sur ma queue. Elle commence un mouvement léger, superficiel avant de l’approfondir. Elle gémit et souffle. J’accompagne ses mouvements afin de la pénétrer au plus profond. Elle reste calme et profite de toutes les sensations que lui apporte notre accouplement.

- Toi aimer être attaché ? Moi aimer attacher homme.

- J’aime être attaché et j’aime attacher les femmes.

- Ici interdit attacher ...

... femme !

Elle reprend ses mouvements et fait visiblement durer son plaisir. Après vingt bonnes minutes de notre agréable danse elle gémit brutalement et s’allonge sur moi.

- Toi jouir en moi pour moi avoir enfant.

Elle se met à danser une furieuse danse. Après quelques minutes de celle-ci je ne peux plus me retenir et plusieurs jets abondants et chauds lui inondent le vagin.

- Bien. Bien. Toi éjaculer.

Elle se lève et prend dans un sac que je n’avais pas remarqué un nécessaire de toilette et se met à me nettoyer avec application.

- Autres peuvent pas savoir

Elle me détache poignets et chevilles, rassemble ses affaires, sort et referme la grille. Je réfléchis. Ce n’est pas une communauté fanatisée. Il y a des membres adhérents pour la « gamelle » comme dans toutes les armées. Un élément à exploiter.

Je me couche, me couvre et m’endors.

- Debout sportif. C’est l’heure.

Je me lève avec le gourdin du matin.

- Dommage que nous n’ayons pas le temps. Une autre fois.

Une des gardiennes me détache les couilles, me saisit le sexe et effectue quelques mouvements qui renforcent mon érection, puis m’ordonne de m’habiller. Dix minutes plus tard je sors du Hangard en trottinant. Je n’ai pas la pêche. Il me faut trente minutes pour que la machine démarre. En observant les abords de la route, je remarque quelques filles qui suivent mon parcours au moyen de jumelles. Ma tentative d’évasion hier les a mises en garde.

Le point. Vendredi je suis enlevé. Vendredi ...