La filière bulgare 03 : Evasion Punition Dressage - Histoires de Sexe

La filière bulgare 03 : Evasion Punition Dressage

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis réveillé en sursaut par un chahut digne d’un adjudant rentrant de virée.

Deux grandes femmes athlétiques parcourent la gallérie donnant accès aux cellules en en hurlant des ordres incompréhensibles aux autres esclaves vu qu’elles s’expriment en bulgare.

Il faut se lever, faire son lit « au carré », ranger la chaise sous la table et se mettre debout devant la grille.

En quelques instants je suis prêt mais je suis le seul.

Les gardiennes passent et repassent cravache à la main. J’entends des grilles s’ouvrir et des cris de douleur des retardataires et malcomprenants qui se font violement frapper.

Les détenus sont sortis de leur cellules et le dispositif fixant leurs couilles au mur est maintenant attaché à une chaîne qu’ils tiennent tous en mains. Ils forment ainsi une colonne et partent à la douche.

- Toi pas venir. D’abord sport. Aller courir.

Le calme est revenu. Dix minutes plus tard deux monstres encore jamais vues viennent me chercher. Elles me libèrent les couilles.

- Tu t’habilles et vite.

Elles me jettent mon matériel et trois minutes après je suis opérationnel.

Nous sommes dans le hall où elles vont prendre leur bicyclette.

En passant à côté d’une fourgonnette Dacia je vois les clés sur le contact. C’est quitte ou double. En quatre secondes je suis au volant et je tourne la clé. J’emballe le moteur. Les pneus crissent. Je suis sorti. Je fonce droit devant moi. Je ne sais pas où ...

... je suis.

Pas trente secondes ne passent que j’aperçois des phares dans le rétroviseur. Je ne conduis plus, je pilote mais malgré toute ma maestria l’autre voiture me gagne. Une ligne droite. Elle est déjà sur moi. La fourgonnette se met de travers. Le pneu avant gauche a éclaté à l’impact d’une balle. Le fossé vient vers moi à une vitesse folle. L’impact est rude.

Je saute hors du véhicule et me met à courir à travers bois en montant. Mes poursuivants s’épuisent rapidement. Je les ai semés.

Je prends mon rythme de croisière et je file vers l’est en me guidant sur le soleil levant. Après environ trente minutes de course, je sors du bois. Une vallée s’ouvre devant moi avec un petit village au fond de celle-ci. Je vais savoir où je suis et trouver de l’aide. Je continue ma course vers le village.

Soudain, un petit SUV me fait face et s’arrête à environ 300 mètres. Je veux faire demi-tour. Même chose derrière moi. Je veux couper vers le haut par le pré. Ils sont aussi là sur le chemin parallèle. Le pré du bas. Même problème. Je vais me faire tirer comme un lapin.

Les chasseresses convergent vers moi. Quand ils sont à trente mètres je pique un sprint droit devant.

J’en renverse deux mais une douleur bizarre me fige le bras droit qui pend maintenant lamentablement de mon épaule. Je continue de courrier mais je suis fauché par la même douleur dans la cuisse droite. Comme un gibier agonisant, je suis au sol.

Je vois approcher la rousse. Non pas ça.

Elle sort ...