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La filière bulgare 03 : Evasion Punition Dressage
Datte: 02/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds
... de cravache sur le sexe si fort que la coupure est nette. Mais quel con je suis. Au lieu de débander ma queue durcit davantage. - Je vois. Jade prend une longue ficelle et un collier d’esclave puis s’approche et me fixe ce dernier. Elle me décalotte le gland et enserre ma queue juste sous celui-ci au moyen de la ficelle. Après plusieurs tours bien serrés, elle termine par un double nœud plat. Elle passe derrière moi et se saisit de la cordelette qu’elle introduit dans l’anneau de mon collier, puis tire très fortement et attache la corde. Malgré mon érection, j’ai la queue tirée entre mes couilles et mes fesses. Je la sens sur mon coxis. Je crève de mal et hurle de manière incontrôlée. - Il fallait obéir. Maintenant il te faut expier tes fautes. Avec deux ficelles, elle m’attache séparément les couilles et les fixe à de gros élastiques tirant celles-ci horizontalement vers la gauche et la droite. Je m’entends crier plus que je ne crie. Jade attend que mes cris diminuent. - Profites-en bien. Je viens te revoir bientôt. Elles se retirent toutes en rigolant. - Putain ! Il déguste ! - Tant mieux ! Pour toutes les fois où nous avons dû ouvrir les cuisses sans le vouloir. - Il va peut-être être abîmé. - On en chopera un autre. Elles ferment la porte. En face de moi, trois écrans que je n’avais pas remarqués me montrent de dos et de chaque profil. Je vois une caméra qui me filme de face. Je ne peux rien faire que souffrir et attendre ...
... sans repère dans le temps. Je débande enfin mais ma situation n’est pas plus confortable tant elle a tendu la ficelle reliant mon sexe à mon collier. La peau de mon scrotum s’étend et la traction se fait maintenant sur mes couilles. Des larmes me montent aux yeux et je gémis sans le vouloir et sans conviction sachant l’action inutile. Jade et quelques autres reviennent. Sans un mot, elles détachent mon sexe et mes testicules et s’en vont. Je récupère malgré l’inconfort de la tension. Je perds la notion du temps. Elles reviennent et cette fois elles me bandent les yeux et me bâillonnent au moyen d’un gag Ball. Je les sens me travailler les couilles puis soudain, de violentes douleurs. Des piqures. Elles m’ont enfermé les couilles dans des « Super Evil Balls » qu’elles viennent de verrouiller. - Alors ! Tu sens que tu vis ! Pour augmenter ma douleur, elles suspendent ensuite un poids à l’harnachement et repartent. Elles m’ont laissé récupérer pour que ressente mieux la torture suivante. Après un temps indéfinissable passé à geindre sans même le vouloir, elles reviennent. Elles me détachent, me menottent les mains derrière le dos, m’entravent les chevilles et me traînent vers ma cellule deux étages plus haut. Là, elles m’attachent au mur par les couilles, comme d’habitude. Je reste étendu sur ma couchette sans pouvoir bouger. Je sombre dans le sommeil. Je me réveille. - Pas de repas pour vous ce soir ! Dommage car j’ai la dalle. Je n’ai rien ...