Un petit sentiment
Datte: 02/09/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
copains,
grossexe,
groscul,
fépilée,
caférestau,
collection,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
rasage,
Oral
pénétratio,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... tondre, puis la raser minutieusement. Ils s’amusaient beaucoup et étaient très excités. Pendant que l’un officiait l’autre la tenait tout en lui tripotant grassement les seins, en lui suçotant les tétons et en lui léchant le visage en murmurant :
— Tu aimes ça, petite salope, tu verras après ça nos bites dans ta chatte rasée seront bien meilleures.
Ces deux-là avaient clairement été à la même école de baise. Lorsqu’elle fut rasée comme elle n’avait jamais souhaité l’être, ils continuèrent à se relayer pour lécher sa chatte baveuse, comme ils répétaient en boucle, sucer son clitoris et introduire dans son vagin doigts, langues et sexes fort bandés. Lorsqu’ils se furent bien asséché les bourses, Isabelle alla se coucher en les laissant siroter la vodka, elle se sentait complètement vidée.
Isabelle avait un petit sentiment. Quelques jours plus tard elle donna rendez-vous à Sébastien dans un café calme, au fond d’une salle pratiquement vide. Elle allait lui présenter son amie Corinne, une brune aux yeux bleus envoûtants, toujours très provocatrice. « Une femme qui adore les hommes », lui avait-elle dit.
Sébastien, impatient, n’avait pas été en retard au rendez-vous. Et il ne fut pas déçu, Corinne était une grande brune féline, qui ne craignait ni les profonds décolletés, ni les maquillages aguicheurs, ni les regards ambigus. Rien qu’en l’embrassant pour lui dire « bonsoir », elle laissa glisser sur le corps de Sébastien une main caressante qui termina sa course sur la ...
... raie des fesses et le fit bander immédiatement. Corinne raconta des aventures érotiques rocambolesques qui excitèrent d’autant plus Sébastien, si c’était possible, que, tout en écoutant, Isabelle lui caressait ostensiblement le sexe. À la fin d’une histoire dans laquelle Corinne racontait comment elle avait sucé le sexe de trois hommes en même temps dans un lieu public, Isabelle lui dit :
— Mon Sébastien aussi, il a une belle et bonne bite et un délicieux foutre.
Alors Corinne mêla sa main à la sienne sur l’érection de Sébastien.
— Beau morceau en effet, s’extasia-t-elle.
— Tu peux y goûter si tu veux. Va donc le traire aux toilettes, c’est tranquille ici.
Sébastien était aux anges, ravi d’avoir su faire d’Isabelle la vraie chienne dont il rêvait, capable de tout pour satisfaire son plaisir, à lui. Corinne se leva.
— On y va ? lança-t-elle à Sébastien en se pourléchant les lèvres en signe d’impatiente gourmandise.
Il ne se fit pas prier et suivit Corinne dans les toilettes où ils s’enfermèrent dans une cabine. Corinne prit l’initiative en manipulant fermement l’appareil reproducteur de Sébastien. Il était tellement hypnotisé par le désir que lui provoquait cette caresse ahurissante qu’il se laissait complètement faire. Corinne le débarrassa rapidement de ses chaussures, de son pantalon et de son caleçon :
— Je serai plus à l’aise pour déguster ce beau sucre d’orge et pour vider ces couilles bien pleines, et même pour glisser une langue jusqu’à ton petit ...