1. Un petit sentiment


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, fhh, copains, grossexe, groscul, fépilée, caférestau, collection, fdomine, humilié(e), vengeance, rasage, Oral pénétratio, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    Isabelle avait un petit sentiment.
    
    Était-ce le grand amour ? Sébastien la baisait bien. Ce n’est pas l’expression qu’Isabelle aurait employée spontanément, mais Sébastien ne disait pas autrement alors elle avait fini par adopter le mot : elle aimait tellement la chose.
    
    Ce soir-là, ils recevaient chez Sébastien son plus vieil ami Luc. Vingt ans d’amitié. Ces deux-là se remémorèrent de nombreux souvenirs de l’école, du collège, du lycée, de l’université et surtout des souvenirs de vacances. Puis vint plus spécifiquement le sujet des filles, des gonzesses, des meufs, la baise, quoi. Sébastien, sans le moindre égard pour Isabelle, évoquait des nichons mafflus qu’il avait pelotés avant les siens, des culs monstrueux sur lesquels il s’était frotté le dard, des chattes dégoulinantes qu’il avait bouffées quand il ne la connaissait pas et nombre d’exploit de sa « bite magique » et de son incroyable façon de s’en servir, ce dont Luc attestait non sans vanter son propre instrument et sa propre technique.
    
    Isabelle avait un petit sentiment. Elle se dit"les garçons sont comme ça", elle réussit même à trouver quelques une de ces histoires amusantes. De souvenir en souvenir Sébastien en vint à évoquer son « actuelle », comme si elle n’était pas là.
    
    — Elle a une petite chatte délicieuse, confia-t-il à son ami.
    
    Isabelle ne goûtait pas beaucoup le compliment dans cette circonstance. Mais c’était tout de même un compliment.
    
    — Enlève ta culotte, ordonna gentiment, mais ...
    ... fermement, Sébastien.
    — Enfin, non, murmura Isabelle.
    — Allez, ne te fais pas prier, enlève ta culotte ! cria-t-il.
    
    Isabelle avait un petit sentiment. Alors elle se contorsionna pour faire glisser le petit slip blanc et se rassit, jambes serrées. Sébastien, en s’emparant du morceau de tissu, lui écarta violemment les cuisses en aboyant :
    
    — Ben ouvre, que Luc voie ta jolie moule !
    
    Isabelle n’était pas à l’aise, elle rechigna un peu. Sébastien avait plongé son nez dans la culotte et semblait enivré par l’odeur, pendant que Luc s’était laissé glisser dans son fauteuil pour aligner son regard avec les cuisses d’Isabelle, tout en caressant la braguette de son pantalon.
    
    — Mais elle n’est pas rasée ta cochonne, aboya Luc.
    — Tu as raison, dit Sébastien avec un large sourire, on va remédier à ça, et il disparut.
    
    Pendant qu’on l’entendait fouiller bruyamment le placard de la salle de bain, Isabelle resserra les cuisses, mais Luc plongea aussitôt le bras sous la jupe. Il écarta à nouveau ses cuisses sans ménagement et manipula brutalement sa vulve. Sébastien revint avec la tondeuse, la mousse à raser et deux rasoirs. Lorsqu’il le vit, Luc retira sa main, la porta à sa bouche et lâcha :
    
    — Tu as raison, elle a un putain de bon coquillage, ça sent la marée de foutre !
    
    Et Sébastien et Luc se tapèrent les mains en signe de complicité, dans un grand éclat de rire.
    
    Isabelle eut beau protester, les deux garçons se relayèrent pour la tenir, la déshabiller entièrement, la ...
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