Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... toison donc… idée tentante, la pénétrer. Sa grotte d’amour serait sans doute moins rêche, moins irritante que sa toison. Acte !
Avec ma vieille copine, nous étions sur la même longueur d’onde. Le temps de saisir ma « bistouquette », elle avait déjà saisi. Elle ouvrit son triangle pour faciliter mon introduction.
— Tu sais, depuis ma ménopause, ma lubrification laisse parfois à désirer alors…
— T’en fais pas, je ne suis pas une brute !
Si effectivement, elle était lubrifiée au minimum, son pouvoir d’accueil n’avait rien à voir avec l’étroit conduit de Mai. Je m’enfonçai, somme toute, assez aisément, jusqu’à la garde dans son connet ouaté. La dernière minute d’Only you fut un délice. Installée confortablement dans la chatte, ma bite frétillait d’aise. Le baiser s’était fait langoureux alors que nos mains, en symétrie, s’attardaient, l’une sur le bas du dos l’autre naviguant de la nuque aux omoplates.
Les meilleures choses ont une fin. Trop préoccupé à mater ma cavalière pendant qu’elle se désapait, je n’y avais pas prêté attention, mais la chanson qui suivait notre slow,Jailhouse Rock d’Elvis, incitait plus à un pistonnage très rock’n’roll plutôt qu’à de lascives oscillations. Je repoussai Gise, me dévaginai et éclatai de rire.
— Qu’est-ce qu’il y a de si comique ?
— Désolé, ma belle, mais franchement Elvis the pelvis, ça me fait marrer.
Elle éteignit la platine.
— Je crois qu’on n’en a plus besoin. Tu sais le soir où on a dansé ce maudit slow, je ...
... mouillais comme une folle et je t’imaginais à mes genoux en train de me brouter le gazon.
— Je ne voudrais pas que tu restes sur ce fantasme, lui répliquai-je en m’agenouillant face à sa chatte.
J’empoignai ses fesses à pleines mains et m’avançai, langue la première, vers son buisson ardent. Son envie m’arrangeait : elle allait me permettre de faire chuter un peu la pression. Hasard, j’entrai directement en contact avec son clito, bel engin d’ailleurs, qui émergeait entre ses lèvres. Elle eut un sursaut comme si une mouche l’avait piquée.
— Droit au but, c’est ta devise ! En tout cas tu n’as pas raté la cible, lâcha-t-elle d’une voix chavirée en étreignant mon crâne luisant.
Inspiré par sa réaction première, je m’amusai, du bout de ma langue, au petit jeu de je-te-touche-je-te-touche-plus. À chaque contact, le même sursaut ! Un tremblement de plus en plus puissant agitait ses fesses. Elle tentait d’ouvrir ses cuisses pour me permettre d’atteindre le cœur de sa féminité. Finalement, elle desserra suffisamment les jambes pour que, au prix d’une gymnastique improbable, je parvinsse à atteindre sa vulve. Conséquence, mon nez écrasa son imposant clitounet. Après quelques allers-retours périlleux entre ses lèvres, sa respiration s’accéléra, son équilibre devint instable et soudain, elle s’affaissa. Je dus la retenir.
— C’est trop, c’est plus de mon âge, chuinta-t-elle. Je ne peux plus.
En marchant en canard, elle recula ma bouche collée à sa chatte. Pour un observateur ...