Le Manoir McLaughan - Chapitre 3
Datte: 29/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Ambel, Source: Hds
... formule adéquat, il s’était déjà levé et avait quitté la pièce. Ses paroles tournèrent dans ma tête un moment : devoir être aimable avec le majordome me semblait plus tolérable après le bon moment que m’avait offert mon mari cette nuit, même s’il m’avait fallu être attachée pour cela. J’avais simplement hâte que cela se reproduise. Je me rendormis sur cette pensée agréable, appréciant la liberté de pouvoir choisir ma position dans mon propre lit.
Lorsque je m’éveillai, je sus quasiment aussitôt qu’il était très tard. Je me levai doucement, puis ôtai mon soutien-gorge qui commençait à me faire mal aux seins en les comprimant. Comme la veille, j’ouvris les rideaux. Il pleuvait toujours, le terrain était détrempé. J’ouvris la fenêtre un instant, et les gouttes qui tombèrent sur ma peau nue m’aidèrent à me réveiller totalement. Je regardai un instant dehors, puis je crus distinguer un mouvement sur la droite du manoir, alors je refermai bien vite le battant. Mais en regardant mieux, il n’y avait personne.
Je retournai à mon lit, et constatai qu’une photo était posée sur ma table de chevet. En la regardant de plus près, je vis que c’était moi, en sous-vêtements et porte-jarretelles rouges, attachée, bâillonnée et un bandeau sur les yeux, sur les genoux et les coudes. La position était terriblement érotique. Je mis un moment à comprendre que la photo datait de cette nuit. L’appareil était un Polaroïd ! Mon mari avait dû me laisser l’une de ses photos, ou bien la déposer quand ...
... il était venu me détacher.
En regardant un peu plus la photo, je sentis une autre chaleur monter en moi. Je sentais toujours le sperme qui avait séché sur mon dos et mes fesses, et cela décupla mes sensations. Je m’assis alors sur le lit après avoir redressé les oreillers, puis retirai mon string qui se mouillait à nouveau. Je restai en porte-jarretelles - talons, ce qui continua à m’exciter, puis je laissai ma main droite vagabonder jusqu’à mon sexe tandis que la gauche tenait toujours la photo.
Après quelques secondes, je revis la scène de la nuit. Mon mari rentrant dans la chambre, puis me tirant les cheveux et me pénétrant sans ménagement pendant que je gémissais comme une folle, totalement à sa merci. Ma deuxième main lâcha la photo et se glissa dans mon vagin, complètement trempé cette fois. Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse à nouveau, sans pouvoir m’empêcher de lâcher quelques cris de plaisir au passage.
Je restai là, assise sur le lit, toute vibrante, quelques minutes supplémentaires pour me remettre de mes émotions. Tout à coup, on frappa à la porte. Paniquant un peu, je saisis la couverture pour la remettre sur moi juste au moment où la porte s’ouvrit doucement, et la tête d’Albert passa dans l’entrebâillement.
« Ah, Madame est réveillée » lança-t-il, puis il entra franchement dans la chambre.
Son regard s’arrêta un instant sur mon soutien-gorge et la photo qui avaient glissé au pied du lit, mais il ne dit rien, puis me déclara :
« Il ...