Le Manoir McLaughan - Chapitre 3
Datte: 29/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Ambel, Source: Hds
Je rêvai de mon mari, étendu dans l’un des fauteuil moelleux de l’atelier. Il avait le pantalon au bas des chevilles et me faisait signe d’approcher. Je me mettais alors à genoux, et gobait son énorme sexe tout entier dans ma gorge. Je m’activais sur son sexe, léchant puis suçant du mieux que je le pouvais l’énorme membre qui me donnait tant de plaisir. J’étais tellement excitée que le liquide débordait de ma culotte et se répandait sur le sol. Quand soudain, la porte s’ouvrit. Alors que j’allais, dans mon rêve, tourner la tête vers l’intrus, je me réveillai en sursaut.
J’en avais la certitude, les clés venaient de tourner dans la serrure et la porte de ma chambre s’était ouverte, puis refermée. J’étais toujours attachée au lit, bâillonnée, masquée, mais je frémis sous les couvertures. Etais-ce déjà le matin ? Mon mari venait-il me détacher comme il l’avait promis ? Ou est-ce qu’il… venait pour autre chose ?
Je sentis la personne s’asseoir sur le lit, puis retirer les couverture jusqu’à mes chevilles, me dévoilant entièrement. Je m’imaginais en sous-vêtements et porte-jarretelles rouge, incapable de bouger ni parler, soumise toute entière à mon mari qui était là, me caressait doucement les fesses sans toucher à mon string, toujours aussi trempée.
Je bouillonnais d’impatience, tremblant d’excitation. Sa main continua de se promener sur mon dos presque nu, revint sur mes fesses, puis prit la direction de mon sexe. Lorsqu’il passa sur mon vagin, je ne pus m’empêcher de ...
... gémir doucement. La sensation était délicieuse. Arthur avait dû sentir que j’étais toute trempée, toute à lui, qu’il n’avait pas beaucoup d’efforts à faire pour me faire jouir totalement.

Il me saisit alors à deux mains, me forçant à me redresser sur les genoux et sur les coudes, et m’écarta les cuisses. Chaque contact sur ma peau était comme un électrochoc. Le moindre frôlement sur mon clitoris m’amenait inlassablement au bord de l’orgasme. Il s’éloigna alors de moi, et alors que je me demandais ce qu’il faisait, me tortillant sur le lit et continuant à gémir d’envie, j’entendis le bruit caractéristique d’un appareil photo.
« Et bien dis donc, pensais-je, il en profite vraiment ! Me prendre en photo alors que je suis à ce point à sa merci, à quatre pattes sur le lit, attachée… ».
Plusieurs bruits de photos venant de différents points de la pièce retentirent, puis il revint vers moi. Sa main se posa alors directement sur mon clitoris, d’abord à travers le string. Puis il l’écarta et commença à me caresser énergiquement, attrapant mes seins qu’il fit sortir sans ménagement de mon soutien-gorge.
Je ne pus tenir plus longtemps. Comme la veille, un grande vague de chaleur m’envahit, et je jouis longuement, sans réussir à étouffer une longue plainte de plaisir. Les mains se retirèrent alors de mon corps, je sentis le lit se tordre sous le poids de quelqu’un qui monte dessus. Les mains revinrent pour m’écarter les cuisses un peu plus, puis l’une m’attrapa par les ...