Mes chers frères (8) - Histoires de Sexe

Mes chers frères (8)

... moi. Je sentais sa respiration dans mon cou. Je restais comme immobilisée de frayeur. Mes mains tremblaient de plus en plus, faisant cogner les verres l’une contre l’autre comme des petites cloches. Dylan comprenait parfaitement mon inquiétude et sans aucun doute mon état de fautive. J’avais pourtant prémédité ce moment, mais la réalité était bien autrement. Je ne savais plus vraiment pourquoi et comment le repousser. Je frissonnais sans même essayer de bouger pour montrer un peu de mon assurance.

La respiration de Dylan s’accélérait de plus en plus que je comprenais que c’était un signe d’impatience et certainement d’excitation. Je devais me décider avant que tout cela aille trop loin. Je me redressais enfin en prenant une grande inspiration pour m’encourager, que soudain, ma respiration se bloqua en sentant ses doigts se poser sur mes hanches malheureusement dénudées, non couvertes de mon minishort trop bas et de mon débardeur trop court. Le contact de ses doigts directement sur ma peau sur cette partie de mon corps me fit drôlement sursauter. Aussitôt, je lâchai le verre qui se brisa dans l’évier pendant qu’un gros frisson parcourut tout mon corps. Trop surprise je m’exclamai :

— Ah !... Mais, qu’est-ce que tu fais ?

Dylan me donna un petit coup de bassin au bas du dos pour me coller contre l’évier et lui contre mon corps, puis me demanda à son tour :

— Et toi ? Qu’est-ce que t’as fait ?

Dylan semblait attendre une réponse de ma part, mais comprenant mon ...

... silence, il glissa ses mains sur mon ventre et commença à les monter vers ma poitrine. Aussitôt, je posai mes mains sur les siennes pour stopper leur progression en lui disant doucement :

— Non Dylan...

Comprenant mon refus, Dylan ajouta :

— Tu es une sacrée petite cochonne... Je sais que tu aimes ça !

J’aurais aimé ne pas entendre ces mots. J’étais tellement surprise et encore plus remplie de honte que mes forces m’abandonnaient tout à coup, laissant libre champ à ses mains. Dylan réussissait à s’aventurer tranquillement sous mon débardeur trempé, et je me rendais malheureusement compte que je ne faisais qu’accompagner ses mains sur ma poitrine. J’essayais de trouver une sorte de réponse pour essayer de m’innocenter un peu pendant que ses mains palpaient fièrement les globes de mes seins. Tout à coup, je fus complètement déconcentrée en réalisant la présence d’un objet bien dur contre le bas de mon dos. J’écarquillais mes yeux comme par surprise, mais je comprenais parfaitement qu’il s’agissait de son pénis en érection. Bizarrement, je perdis un peu les raisons de ma frayeur et les raisons de ma décision concernant mes frères il y avait quelques minutes seulement.

Profitant que j’avais un peu libéré la pression sur ses mains, Dylan écarta les pans de mon mini-soutien-gorge et s’attaqua directement à mes pointes généreusement bien dressées et qui durcissaient davantage entre ses doigts. Je frissonnais de suite de plaisir. Ma respiration devenait plus longue et ...