Mes chers frères (8) - Histoires de Sexe

Mes chers frères (8)

Je me demandais ce qu’il m’arrivait ce matin-là. Est-ce le sexe qui me rendait aussi folle pour devenir si imprudente ? J’étais vraiment très mal dans ma peau. Dylan m’avait surprise en pleine action de fellation avec notre grand-frère Yann, déjà c’était suffisamment honteux, mais que je me fasse défoncer la bouche en plus de m’étrangler avec tout ce sperme sous ses yeux, c’était plus que de l’humiliation. Et si seulement je savais qu’ils étaient tous les deux complices, et qu’ils avaient tout simplement monté ce coup, je me sentirais peut-être un peu mieux. Quoi qu’il en soit, j’étais vraiment très furieuse contre moi-même, et je ne savais pas comment faire pour me sortir de cette situation si embarrassante.

Tranquillement, la nature suivait son cours. Les papillons continuaient de butiner les fleurs du jardin, mais comme par triste réalité, cette nature me paraissait des plus banales. Je ne ressentais plus l’envie de rêver. Je me dégoûtais moi-même, et je devais vite me laver correctement pour enlever toute cette souillure sur mon corps.

Je trouvai enfin la force de me lever de table en prenant la sage décision de ne plus me laisser tenter avec mes frères. Comme j’entendais le bruit de la télé, je savais que Dylan n’était pas très loin, alors j’entrais très doucement dans la cuisine pour déposer ma tasse. Soudain, à peine j’étais devant l’évier, j’entendis sa voix étant très proche :

— Bonjour Louce.

Je sursautai en tournant brusquement ma tête vers lui. Dylan ...

... entra à son tour dans la cuisine. Il avait un petit sourire en coin des lèvres et un regard suffisamment coquin que je pouvais deviner ses pensées. Il devait encore avoir cette honteuse image du pénis de son grand-frère enfoui dans ma bouche. J’étais tellement en état de tristesse et de désolation que je préférais tout simplement baisser ma tête et regarder devant moi pour éviter ce regard.

Timidement, je lui répondis en bégayant :

— Bon... bonjour Dylan.

Du coin de l’œil, je le voyais venir doucement vers moi, mais assez bizarrement, comme pour essayer de comprendre quelque chose, certainement cette grosse tache encore bien humide sur le devant de mon petit tricot et quelques gouttes quand même bien visible sur mon minishort. Aussitôt, j’ouvris suffisamment fort l’eau du robinet, et plongeant mes mains sous le jet pour rincer ma tasse, j’éclaboussai volontairement mes vêtements pour essayer de camoufler un peu cette substance visqueuse qui collait trop bien le tissu devenu presque transparent sur ma poitrine. Heureusement que je m’étais correctement rajustée, mon maillot étant même très petit couvrait parfaitement mes mamelons, sauf que l’eau glacée ne faisait qu’accentuer le gonflement et l’étirement de mes pointes qui se remarquaient nettement trop bien.

Toujours tremblante, je lui demandai :

— Tu... tu n’es pas avec tes potes ce matin ?

Dylan ne me répondit pas. Il se contentait tout simplement de continuer son approche, puis disparaître juste derrière ...