1. La vengeance de Juliette


    Datte: 26/08/2020, Catégories: fh, hagé, extracon, inconnu, bizarre, Collègues / Travail vengeance, préservati, pénétratio, bourge, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... m’indiquer comment vous procédez d’habitude ?
    — Ben… euh… Solange… euh… elle monte sur le lit à quatre pattes.
    — Comme ça ? demande-t-elle en s’installant le cul en l’air.
    — Elle soulève sa blouse, elle.
    
    Juliette fait remonter sa jupe sur les hanches. Elle sent le regard sur le postérieur nu. Cela la fait trembler. Quelques secondes passent dans un silence oppressant. Elle n’ose tourner la tête et voir ce que fait Georges. Les consignes sont claires : ne pas le perturber. Le lit grince et s’affaisse sous un poids supplémentaire. Des mains douces frôlent les fesses nues.Je dois être couverte de chair de poule, pense-t-elle sans oser bouger. Des doigts s’insinuent dans la raie. Tout à coup, elle prend peur. Il ne va pas l’enculer par hasard ? Elle ne veut pas… mais que faire s’il insiste ? Si elle résiste, cela ne va-t-il pas déclencher un drame ? Par chance, les doigts poursuivent leur progression en direction du vagin. Ouf ! Elle préfère !
    
    Le bout du sexe remplace les doigts. Juliette se demande pourquoi Georges attend pour s’enfoncer. Peut-être que Solange, sa compagne habituelle, l’aide en cet instant ? La femme décide d’essayer et lance la main entre ses cuisses. Le contact du latex la désoriente. Elle met une petite seconde à réaliser : la verge de Georges est recouverte par un préservatif ! Sûrement Roméo qui l’a enfilé avant son arrivée. Elle n’y aurait pas pensé mais cela la rassure. Un instant de flottement puis elle se reprend et guide le gland face au ...
    ... bon orifice.
    
    — Ah oui, Eugénie ! Comme ça !
    
    Ah non, les ordres sont formels ! Pas d’allusion à son ancienne bonne ! D’un bond Juliette saute du lit.
    
    — Je ne suis pas Eugénie, que cela soit bien compris ! Sinon, je m’en vais.
    — Non, non Madame ne partez pas, je le ferai plus.
    
    Le pauvre Georges est désemparé, à genoux, la blouse ouverte, la bite à l’air. Elle semble bien grosse à Juliette, plus grosse que celle de son mari. Peut-être parce qu’elle est enveloppée de latex ? Ne lui fera-t-elle pas mal ? Elle espère que Roméo a pensé à l’enduire de lubrifiant. Il n’est plus temps de reculer après la contrition du bonhomme.
    
    — Bon, j’accepte de revenir, mais au moindre mot de travers j’arrête tout ! Bien compris ?
    — Oui, Madame.
    
    Juliette remonte s’installer en relevant sa jupe. Georges introduit sa queue entre les cuisses. Elle la guide de la main et recule dessus.
    
    — Aah ! soupire-t-il.
    
    Elle serre les lèvres et étouffe le gémissement que l’introduction lui arrache. La verge remplit le vagin. Cela tire délicieusement.Vive les grosses queues ! pense-t-elle. Dans son dos Georges reste immobile. Qu’est-ce qu’il attend ? Devra-t-elle faire tout le travail ?
    
    — Vous pouvez y aller, Georges.
    — Merci madame.
    
    Il pose les mains sur les hanches de la femme et commence le va-et-vient. Il ne se presse pas. Ses mouvements sont lents et réguliers. Il se retire presque complètement, s’immobilise une seconde pour se renfoncer jusqu’à ce que son ventre butte contre les ...