1. La vengeance de Juliette


    Datte: 26/08/2020, Catégories: fh, hagé, extracon, inconnu, bizarre, Collègues / Travail vengeance, préservati, pénétratio, bourge, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... disparition de celle-ci il est tombé dans une douce folie et un abattement dont il n’émerge que lorsque ses pics de testostérone le démangent. Sa sœur qui l’avait recueilli a pris peur quand il a tenté de la posséder, se jetant sur elle et l’appelant Eugénie, du nom de la bonne qui l’avait déniaisé quand il était adolescent. Elle a pris contact avec l’institution où maintenant Georges coule des jours paisibles entrecoupés de crises que Solange, une jeune infirmière, est chargée d’apaiser.
    
    — Et c’est toi qui te dévoues en son absence ?
    — Ça m’est arrivé quand il n’y a pas de personnel disponible comme aujourd’hui.
    — Vous pourriez pas lui administrer des calmants ?
    — Et le priver des derniers plaisirs de l’existence ? Voyons Maman, ce ne serait pas charitable !
    
    Ah ! S’il s’agit de charité chrétienne, elle n’a plus rien à dire ! Elle suit sa fille, plus excitée qu’elle ne voudrait l’admettre.
    
    — Autre chose, maman, continue Francine. Ne le laisse pas te prendre pour Eugénie. Menace-le de tout arrêter si cela se produit. D’ailleurs je veillerai sur toi.
    — Tu… Tu assisteras ?
    — De la cabine de surveillance vidéo, comme pour toutes les séances en salle de… euh… de décontraction, mais rassure-toi, je serai discrète.
    
    Elles arrivent devant une porte ornée d’un grand B.
    
    — C’est là.
    
    Juliette se prépare à ouvrir.
    
    — Un instant, s’il te plaît. Tu devrais enlever ta culotte avant d’entrer. Si, si ! insiste-t-elle devant le sourcil étonné. Il est préférable que ...
    ... tu n’aies pas à l’ôter devant Georges, ça pourrait le perturber.
    
    Elle glisse dans sa poche le dessous que sa mère lui tend.
    
    — Merci, je te la rendrai tout à l’heure.
    
    À ce moment Roméo sort de la chambre.
    
    — Ah vous êtes là ! Parfait. Vous pouvez entrer, Juliette. Georges vous attend avec impatience. Je l’ai prévenu qu’il aura la visite d’une nouvelle soignante. Il est tout émoustillé. Bonne chance.
    — Oui, bonne chance, Maman. Tu verras, Georges est étonnant.
    
    Sur cet encouragement insolite de la part de sa fille à une mère qui va se faire baiser par un étranger, Juliette pénètre dans la pièce. La lumière tamisée la surprend. Elle met quelques secondes à s’y habituer. Elle remarque tout de suite les gravures érotiques sur les murs.Les couleurs sont annoncées ! ricane-t-elle en silence. Georges, en blouse bleue, est assis sur le lit les mains sur les genoux, les jambes pendantes. Malgré ses cheveux blancs il a l’air d’un petit garçon.Il est nu sous sa blouse, devine-t-elle. Cette pensée la fait rougir. Une chaleur soudaine envahit son bas-ventre. Elle s’appuie sur un dossier de chaise. Il lui faut réagir, c’est elle qui dirige les ébats et ne doit pas laisser Georges prendre le dessus. Elle respire profondément avant de déclarer :
    
    — Bonjour, Georges.
    — Bonjour. Comment tu t’appelles ?
    — Appelez-moi Madame, s’il vous plaît et je vous prie de me vouvoyer.
    — Bi… bi… bien Madame.
    — Excusez-moi de vous le demander mais comme je suis nouvelle ici, pouvez-vous ...
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