Un accident dans la véranda
Datte: 26/08/2020,
Catégories:
fh,
hagé,
couleurs,
grossexe,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Sulichi, Source: Revebebe
... pas le travail facile. J’aidais ma femme en repérant les éclats et elle, doucement, les arrachait en caressant un peu les zones sensibles avec ses mains fines.
Accroupi aux pieds d’Ali, je remarquai une masse obscure entre ses cuisses, dans l’ombre de la djellaba. On aurait dit une murène noire enroulée dans son nid. Ne voulant pas alarmer inutilement mon épouse, j’ai rapidement repoussé cette bête noire dans sa tanière avec la main. J’ai trouvé sa queue lourde et chaude au toucher. Karine dut découvrir un peu plus de la vielle peau flétrie pour retirer plus de bouts de verres. Inévitablement, cet épais morceau la viande grise est entré dans le champ de vision de mon épouse. Trop occupée à désinfecter les plaies, elle remarqua à peine ce long boyau strié. Patiemment, elle continuait son œuvre.
Quand vint le moment de lui nettoyer l’entrejambes, sans émotion, elle attrapa d’une main le membre ridé et puant du vieil Arabe et continua son travail comme si de rien n’était, comme si elle voyait des queues impressionnantes tous les jours… Je suis bien placé pour vous dire que ce n’est pas le cas ! Je n’étais pas mécontent de ma bite, mais Ali me dépassait dans tous les sens du terme. Bien qu’au repos, son engin était deux fois plus long que quand je bande. Lui vieux et maigre, moi encore jeune et bien portant, paradoxalement ma bite était rachitique à côté de sa trompe. J’étais un peu honteux.
Le sexe du réfugié musulman semblait se réveiller mollement dans la main de ma ...
... femme. Paresseusement il s’allongeait jusqu’à devenir un tube rigide couvert de stries. Gamin, j’avais vu la bite d’un âne dans un champ, celle d’Ali n’avait rien à lui envier.
— Prends ça, c’est trop lourd, j’arrive plus à travailler, me dit-elle en me tendant la hampe érectile.
Nerveux, j’attrapais le magnifique morceau de chair grise. Dans ma main tremblante, je sentais pomper les veines qui alimentaient en sang ce membre encore calotté. J’essayais de tenir fermement cette bite qui semblait vouloir s’échapper. Je regardais ses volumineuses couilles frisées. Tandis que je songeais au volume de liquide qu’elles pouvaient contenir, je perdais tout contrôle sur moi. Le tremblement de ma main me fit lâcher cette queue gonflée qui alla frapper avec force la bouche pulpeuse de ma femme. Karine s’arrêta et me regarda.
— Tu ne peux même pas faire une chose correctement ! me reprocha-t-elle.
Elle empoigna le sexe d’Ali et le serra entre son mollet et sa cuisse charnue. La queue était maintenant décalottée. Avec la pression son gland continuait de gonfler. Sa large collerette le faisait ressembler à un champignon… sans doute vénéneux. C’était spectacle étonnant de voir cette bite monstrueuse qui commençait à baver du liquide séminal sur les jambes dodues de mon épouse. La bouche plissée du monstre était à quelques centimètres des sous-vêtements de ma femme accroupie. Sa chatte était visible à travers l’ouverture de ses jambes, sous le tailleur court qu’elle portait.
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