Un accident dans la véranda
Datte: 26/08/2020,
Catégories:
fh,
hagé,
couleurs,
grossexe,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Sulichi, Source: Revebebe
Ma femme et moi venons d’avoir quarante ans. Nous vivons dans les alentours de Perpignan dans une grande villa avec vue sur la mer. Nous travaillons tous les deux dans les ressources humaines. Ma femme, Karine, est DRH chez un petit groupe pharmaceutique, tandis que moi, Stéphane, je fais passer des entretiens d’embauche pour une chaîne de supermarchés. Passionnés par notre travail respectif, nous n’avons jamais voulu avoir d’enfant. Physiquement, presque tout nous oppose… Elle est petite, mate de peau ; ses hanches sont larges et sa poitrine généreuse. Je suis grand, mince, les cheveux obscurs et le teint pâle.
Depuis peu, une association humanitaire nous a confié, à la maison, un vieux réfugié libyen qui a fui son pays pendant la révolution. Ali est musulman, il ne parle pas français et c’est parfois compliqué de communiquer avec lui. Nous ne connaissons pas son âge, mais il doit être plus vieux que mon père. Son visage maigre et flétri est toujours souriant, malgré les aléas qu’il a dû subir. Ses yeux abrités derrière d’épaisses lunettes laissent souvent transparaître la fatigue du vieil homme. Nous ne lui demandons jamais rien, mais Ali aime se rendre utile ; lorsque nous travaillons, il s’occupe d’entretenir notre jardin : il tond la pelouse, il nettoie la piscine, etc.
Ce jour-là, ma femme était venue me chercher au travail dans notre décapotable. Depuis l’allée qui conduit au garage, on apercevait Ali en haut d’une échelle en train de décoincer une de mes balles ...
... de golf perchée sur le toit. Lorsqu’il nous entendit, il tourna son torse grêle et leva son bras écharné pour nous saluer. Avec le mouvement, l’échelle vacilla et le vieil Arabe perdit l’équilibre. Affolé, il tomba sur le toit de la véranda qui s’écroula sous son faible poids.
Nous accourûmes dans cette loggia pour voir l’étendue des dégâts. C’était un désastre, il avait perdu connaissance. Son corps ancien gisait sur le sol, entre nos sièges en rotin. Des éclats de verre le taillaient sur tout le corps. Sous son ample tunique, on distinguait des tessons pointus enfoncés dans ses jambes et dans ses bras. Tremblant, je n’osais pas le toucher de crainte de le blesser davantage. Karine, accroupie à côté de lui, a commencé à le nettoyer. Je me suis assis et regardé. La situation était désagréable et le vieil homme sentait fort.
— Va chercher un coussin pour sa tête ! dit-elle, agacée de me voir inactif.
Quand je suis revenu avec un oreiller rempli de plumes, ma femme avait déjà enlevé quelques éclats.
— Ça sent le bouc ! dis-je pour dédramatiser la situation.
Elle ne me regarda pas, elle se concentrait sur les cuisses velues. Elle fut obligée de relever un peu plus la djellaba tachée de sang. Délicatement, elle tirait éclat après éclat. J’en voyais encore beaucoup et je dis :
— Chérie, dégage sa tunique, j’en vois d’autres…
Elle fit une grimace mais tira la toile, révélant plus des trois quarts des cuisses faméliques du vieux réfugié. Les poils ne rendaient ...