Ma Logeuse Ch. 12
Datte: 25/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... elle eut un peu de mal à trouver le bon serrage pour l'anneau qui m'enserrait le scrotum, et à faire coulisser la cage métallique sur mon membre qui, avec ses manipulations maladroites, commençait déjà à reprendre une certaine tonicité, malgré l'effet lénifiant du bain chaud. Je la regardais faire, à genoux devant moi, et je me pris à rêver qu'elle prenne mon sexe dans sa bouche, sachant que cela n'arriverait jamais.
Quand nous sortîmes de la salle de bain, moi à quatre pattes et Carole me traînant par ma laisse, Hélène nous attendait, à côté du lit.
« Assieds toi sur le lit »
Une fois assis, elle me mit un bandeau sur les yeux, et des boules Quies dans les oreilles, puis elle me fit m'allonger et elles m'attachèrent à nouveau. J'étais complètement coupé du monde, immobilisé, aveugle et sourd.
Et le temps passa... il me parut interminable... puis je dus m'assoupir... je me réveillais toujours dans mon océan vide. Je pensais à toutes sortes de choses, mes rapports avec Hélène, avec Carole qui occupait une place de plus en plus importante dans ma vie et dans mes fantasmes, mes examens à venir, l'étrange plaisir que j'avais ressentis au cœur de la douleur.
Brutalement, je sentis des mains chaudes sur moi. On me retira mes boules Quies et ce fut la voix de Carole que j'entendis
« Alors petit-puceau, on a pas été trop longue? »
Elles me détachèrent et me firent asseoir sur le lit. Puis elles enlevèrent mon bandeau. Elles étaient en face de moi, ...
... apparemment trempées de sueur. Leurs cheveux étaient collés à leur front et leurs chemisiers montraient de large auréoles sous les aisselles. Elles me firent descendre du lit, raccrochèrent la laisse sur mon collier et me firent mettre à genoux.
Puis je vis Carole se déshabiller, enlever ses bottines, son jean, son chemisier. puis son soutien-gorge et enfin sa culotte de coton. Elle s'assit sur le lit, s'adossant aux gros oreillers, jambes écartées, exhibant impudiquement sa chatte. Je contemplais un instant les détails de sa vulve, les petites lèvres luisantes déjà gonflées qui ressortaient des grandes, et plus bas, l'anneau brun de son anus. Je sentis une douleur familière dans ma verge. Hélène arracha mon bâillon, et me tirant par ma laisse, me fis monter sur le lit, à genoux en face du sexe exposé de Carole.
« Suce là... et tu as intérêt à la faire jouir. »
Je me penchai sur ce sexe offert, l'odeur forte, marine, iodée, m'emplit et je commençais à lécher doucement ses petites lèvres exhibées, les écartant doucement avec ma langue. Le goût de sa mouille m'inonda, salé, ferreux. Je léchais ainsi un moment pendant qu'elle posait ses mains sur ma tête, sans insister, juste comme une caresse. Je glissais ma langue dans son vagin, absorbant avec délice ses sécrétions liquoreuses. Elle n'avait pas le même goût qu'Hélène, plus prononcé, plus métallique aussi. Enfin, je plaçais ma langue contre le pivot rigide de son clitoris. Elle eut un soubresaut. Elle murmura d 'une voix ...