Ma Logeuse Ch. 12
Datte: 25/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
La journée fut terne. Je commençais mes révisions pour le nouvel examen mais mes pensées ne pouvaient s'évader d'Hélène et de Carole.
Le soir, elles rentrèrent tôt. Hélène me fit embrasser leurs chaussures. Puis elle ajouta l'air sévère :
« Ce soir, petit-puceau, tu vas recevoir la dernière partie de ta punition. »
Je ne sus pas trop quoi répondre, sachant que cette histoire de punition était juste une excuse pour m'humilier encore un peu plus.
« Va nous faire à manger »
Je me précipitai dans la cuisine me demandant ce qu'elles avaient encore en tête.
Après le repas, Hélène me dit abruptement de monter dans sa chambre et de les y attendre.
Elles arrivèrent quelque minutes plus tard. Hélène me mit un bandeau sur les yeux et on m'enfila à nouveau une culotte dans la bouche, fixée par l'éternelle bande de scotch. Puis on m'enleva ma
cage.
« Mets toi à quatre pattes »
J'obéis et je sentis leurs mains qui me repositionnaient en travers du lit, on attacha ma cheville gauche avec une bande de cuir, puis ma cheville droite maintenue très éloignée de la première, ce qui m'obligea à poser ma tête sur le drap pour conserver mon équilibre. Je me sentais très vulnérable, à quatre pattes, les fesses en l'air, sans pouvoir intervenir sur la suite des événements.
Et elles appliquèrent une pommade fraîche sur mon anus et je sus ce quelle voulaient faire. Je tentais de me débattre mais ma position ne rendait pas la chose facile.
Ce fus la voix de Carole ...
... qui répondit à mes ruades
« Calme toi petit-puceau, je vais découvrir quelque chose ce soir, laisse toi faire, laisse nous faire »
Un doigt tenta de s'introduire en moi. Je me tendis instinctivement. Le doigt insista et aidé par la lubrification fini par me pénétrer. J'avais envie de hurler contre cette intrusion mais mon bâillon ne laissait passer que de vagues gémissements. Le doigt fit quelques va-et-vient dans mon fondement et la douleur initiale s'atténua pour laisser place à une honte indicible.
Puis le doigt sortit remplacé très vite par un contact froid contre mon anus. La pression augmenta et je me sentis pénétré. Pas de beaucoup, de quelques centimètres, mais j'imaginais l'une des deux femmes qui était en train de me prendre et je me mis à pleurer. La douleur était revenue, une sensation d'écartèlement difficilement supportable. Petit à petit, va et vient après va-et-vient, le godemiché pénétrait davantage en moi, jusqu'à me remplir tandis que la brûlure terrible du début diminuait progressivement. Je me sentais possédé, violé J'avais la conscience aiguë d'être totalement à leur merci, d'être le simple jouet de leur plaisir et je commençais à en éprouver une sorte de plaisir masochiste.
J'entendis, comme dans un rêve le cri sourd de jouissance de celle qui m'avait prise et je reconnus le long feulement d'Hélène. Le gode ressorti brutalement de moi, laissant un sorte de vide presque aussi pénible que son intrusion. Il y eut des bruits, je n'étais plus ...