1. Ma Logeuse Ch. 12


    Datte: 25/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... frisson me parcourut tandis que je nettoyais ma pisse devant ces deux femmes qui prenaient leur déjeuner. Quand j'eus fini mon humiliant nettoyage, Hélène m'intima l'ordre d'aller les attendre sur le lit.
    
    Allongé sur le lit encore défait, je me demandais ce qui lui passait par la tête. Je restai longtemps seul avant qu'elles fassent leur apparition. Je vis Hélène farfouiller dans son armoire et en sortir les paires de menottes
    
    « Mets toi sur le ventre »
    
    Sitôt que je fus en position, les deux femmes me lièrent aux montants du lit, Carole s'occupant de mes poignets pendant qu'Hélène fixait mes chevilles. J'étais ainsi complètement immobilisé, la tête dans l'oreiller ou je humais avec délice l'odeur d'Hélène. C'était la première fois qu'elles m'attachaient sur le ventre et j'éprouvais un peu de difficulté à respirer. J'entendis quelqu'un passer dans la salle de bains et revenir aussitôt. Hélène vint se placer devant moi, tenant à la main une grosse brosse à cheveux.
    
    « Mon petit Pascal, aujourd'hui, tu vas recevoir ta première fessée »
    
    Je blanchis à cette annonce. Je ne me souvenais pas avoir jamais reçu de fessée et je n'imaginais pas en recevoir une à 21 ans.
    
    Hélène passa d'abord les poils de sa brosse sur mes fesses. Au début, ce n'était pas désagréable, juste une sorte de grattement, mais assez vite, cela fini par m'irriter de manière presque douloureuse et je commençai à me débattre dans mes liens. C'est alors que le premier coup tomba. Hélène me frappait ...
    ... avec le dos de la brosse et chaque coup irradiait des ondes douloureuses dans toutes mon ventre. Je me tortillais dans mes liens pour tenter d'échapper vainement à la claque continuelle. La douleur se faisait de plus en plus vive au fur et à mesure que ma peau était déjà marquée par les coups précédents. Hélène ne disait rien et frappait méthodiquement avec un rythme soutenu. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Puis les coups cessèrent et je cru un instant que mon calvaire était fini quand j'entendis la voix essoufflée d'Hélène.
    
    « Carole, à toi »
    
    Je gémis à nouveau dans mon bâillon pour arrêter cette torture. Les premiers coups de Carole furent beaucoup plus léger que ceux d'Hélène et bien qu'ils fussent douloureux, je pensais que le plus dur était passé. Mais au fur et à mesure qu'elle prenait de l' assurance, ces coups se firent plus fort, et assez rapidement, elle se mit à frapper au moins aussi fort et aussi précisément qu'Hélène.
    
    La douleur devenait difficilement supportable et je crû que cela ne s'arrêterait jamais...et puis, tout d'un coup curieusement elle se mua en autre chose. Une sorte de chaleur diffuse dans tout le corps. J'avais encore très mal aux fesses mais cela devenait presque anecdotique par rapport à cette sensation totalement nouvelle. Je me rendais compte à la tension douloureuse dans le bas ventre que j'essayais de bander dans ma cage. J'étais dans une espèce de transe où toutes mes sensations me parvenaient comme filtrées, atténuées, ...
«12...567...12»