1. Campagne sensuelle


    Datte: 16/04/2018, Catégories: fhh, hplusag, extracon, médical, grossexe, grosseins, groscul, handicap, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral fist, pénétratio, fsodo, Auteur: Sensuelitor, Source: Revebebe

    ... petit pull court. Je m’éloignai vers le hall de la boîte, m’arrêtai pour fumer une cigarette avant de bosser. Elle s’était retournée et m’observait de loin, le sourire aux lèvres, l’air amusé. Elle me fit un clin d’œil. À ce moment, arriva mon collègue sur son fauteuil roulant. Elle le salua et l’emmena jusqu’au véhicule.
    
    Je rageai de ne pas avoir su profiter de la situation, une fois encore. J’étais le dernier des empotés. L’après-midi se passa, morne, je ruminais mon incompétence à aborder les femmes tout en m’évadant dans des délires sexuels avec cette salope de Martine. Je sortis du bureau vers 18 heures, fatigué de cette journée de chien.
    
    Un taxi blanc attendait dans la rue. Martine, au volant, me fit un appel de phares avant de lancer le moteur. Elle me laissa monter dans ma voiture. Je démarrai à mon tour et la suivis. Cette fois, c’était la bonne. Il avait fallu qu’elle prenne les devants et je n’allais pas passer l’occasion de lui montrer que moi aussi, j’étais un homme. J’étais terriblement excité. Il fallait que je me calme avant de passer à l’action. Je mis un peu de musique, tout en la suivant sur les petites routes de campagne. Elle vérifiait de temps en temps si je la suivais en me faisant de petits signes de la main. Je lui répondais, l’air enjoué. Après plusieurs kilomètres, la voiture blanche tourna sur un chemin qui menait dans une cour de ferme. Je m’engageai sans hésiter. Martine vivait donc là, en pleine cambrousse, loin des regards. Elle descendit ...
    ... de sa voiture et s’approcha de moi.
    
    — Tu descends ?
    
    Vu la tenue qu’elle avait mise, le tutoiement était effectivement de rigueur. Elle avait toujours une blouse blanche médicale, mais les trois premiers boutons du haut étaient dégrafés. Sa grosse poitrine blanche et laiteuse menaçait de faire sauter les derniers. J’aperçus un soutien-gorge à dentelles de couleur noire, tendu à l’extrême et qui avait bien du mal à contenir ses nibards.
    
    Je la suivis jusqu’à la porte, sans un mot, la gorge nouée, déjà fébrile et excité. Me précédant, elle se pencha en avant pour récupérer la clef sous le paillasson. Cette chienne faisait exprès de mettre en évidence son gros cul sous la toile de la blouse. Je remarquai un string sous le tissu blanc, et rien d’autre. Elle me faisait le grand jeu, à l’évidence. Nous pénétrâmes dans la pièce principale, sombre et humide. Un grand lit ancien trônait dans un angle, quelques chaises, un fauteuil au cuir élimé et une grande table en bois massif constituaient le seul mobilier. Une lumière blafarde éclairait le tout. Pas vraiment l’ambiance feutrée et sexy que j’aurais pu souhaiter.
    
    Elle devait sacrément s’ennuyer ici. C’est alors que j’entendis un grognement provenant d’une partie mal éclairée de la pièce. Un vieil homme était assis là, dans un fauteuil roulant, une couverture sur les jambes. Un instant, je vis mes plans mis à bas. Martine me rassura tout de suite :
    
    — T’inquiète, c’est mon bonhomme, y peut plus bouger, juste regarder, ça ...
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