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d**g store
Datte: 24/08/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... mon cœur. Je ne trouvais rien à répondre. Je me trouvais coupable. Je n 'aspirais qu'à en finir. Qu'on me tranchât la tête et m'ensevelit à mille lieux sous terre. Je me haïssais. Je concevais que mon comportement était plus répréhensible que le mien. Mon silence enfin acheva de la calmer. Peut-être prit-elle pitié. Elle n'en asséna pas moins cette parole cruelle : « Vous m'avez fort déçu. Je ne vous aurais pas cru de ce métal. » Elle ne vint plus les autres jours et tout sembla fini. Vinrent les examens. J'y fis montre de mon efficacité coutumière mais le cœur n'y étais plus. Mon père m'annonça qu'il consentait que je partis en Corse avec des potes. J’avais conquis sa confiance. En d'autres circonstances j'eus sauté de joie à la perspective de telles vacances. En fait je n’avais en tête que ma belle professeure. Je n'avais de cesse de la chercher et de la revoir. L'autre malfaisant de serveur lâchant son dernier poison, déclarât : « Elle a du changer de crèmerie pour aller faire la pute ailleurs. » J'aurais du lui asséner un coup de poing. J'eus du écraser sous le pied ce crapaud. Je me souviens encore de ce jour. Je revins un matin au d**gstore. Le minable serveur heureusement n'était pas là. Ce devait être son jour de relâche. Par contre au même endroit je la vis toujours dans ses bouquins et ses copies. Elle releva la tête et me sourit. Il n'y avait plus de trace de colère dans ses yeux. Cependant j’hésitais à aller la voir. Je m’en sentais toujours indigne. C'est ...
... elle qui fit le premier pas. Elle me demanda quant à mes examens et me félicitât. Elle allait partir avec son mari en vacances à l’étranger. Elle loua ma destination de l'été. Elle adorait la Corse. J'avais envie de lui demander une adresse mail afin de lui écrire. En fait j'avais envie de la revoir. Peut-être perçut-elle mon désespoir. Elle prit soudain ma main. Elle dit : « J'aimerais que vous me raccompagniez jusqu'à la voiture. » Tout allât si vite. On eût dit que nous étions en lévitation comme transportés sur un tapis volant. Nous traversâmes le même parking. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire nous étions auprès de sa voiture. Un grand et élégant SUV. Elle m'invitât d'y monter. Je fis cela avec un naturel confondant. Sa voix douce portait sans doute à l'apaisement. Elle prit comme il se doit l'initiative. Elle m'embrassa. Nos gestes furent lents et précis. Je m'étonnais moi-même de n'être pas si pataud. J’avais grandi en une telle expérience. Peut-être avait-elle voulu m'annoncer que j'étais devenu un homme. Qu’elle m'avait accouché d'une certaine façon. Nous fîmes l'amour. Je n'eus pas une seule fois en l'esprit le concept de sexe. L'autre abruti eût décrété que nous avions baisé or il s'agissait de noces. Nous célébrions ici quelque part nos adieux. Je ne savais pas la posséder pour la première et dernière fois. Certes je fus sucé si diablement. On ne m'avait point menti. Ce fut le prélude de l'été. Quelque chose de torride et d'africain. Dionysos ...