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    Datte: 24/08/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... respirer, on devait manifestement le sucer. La fellation dura un temps interminable. Le terme d'apnée eût été à propos. J'étais sidéré qu' elle mit pareille application à cela. Avait-elle lu cela dans ses bouquins ? Je ne concevais pas que ce même ange aux yeux si bleus put s'adonner à cette besogne sale. J'imaginais un instant qu'elle y avait été contrainte. Peut-être le type la faisait-il chanter. A présent elle avait levé la tête. Ils s'embrassaient. Elle y faisait montre de la même fougue. Ils étaient assurément amants.
    
    Après quelques contorsions, il fut derrière elle, collé à sa croupe. Il la besognait en levrette. Je songeait même qu'il était en train de l'enculer. En effet le mouvement était plus scrupuleux et pénible. Sa bouche ouverte et son visage tordu témoignaient de quelque douleur. Je contemplais fasciné. L'exercice n'en dura pas moins un long temps. Ce type avait une sale tête. Point beau. Un mâle d'environ cinquante ans. Des façons de rustre et d'ouvrier. Il se tapait ainsi une bourgeoise et en devait concevoir une certaine satisfaction. Où était-elle allée pécher ce gredin ?
    
    J'avais depuis des érections coupables. J'étais désolé de constater en moi le vice coupable du voyeur. Je me surpris bientôt à me branler. J'aurais voulu approcher et en voir davantage. Sur la fin ils adoptèrent la position classique du missionnaire. On voyait du rustre, son cul grotesque et de la belle, ses jambes tout en l'air. Il la besognait à fond. Je percevais jusqu'ici ses ...
    ... gémissements de garce. Elle prenait inconsidérément son pied. Puis il y eût un silence. Ils s'embrassaient peut-être. Puis je vis l’homme sortir soudain du véhicule. Il me tournait le dos. Pris de panique je m'enfuis.
    
    La nuit fut terrible. J'étais partagé entre deux sentiments. D’une part je lui en voulais d'avoir prostitué mon rêve, mon idéal. D'autre part je ne comprenais pas que je pus éprouver autant d'excitation à ce que la femme désirée put être offerte à un autre de façon si humiliante. Je n'avais jamais conçu ainsi le soubassement trouble et mystérieux du désir. Je relirais désormais autrement les poèmes de mon cher Baudelaire. Étranges Fleurs du Mal. Aurais-je la force de retourner là-bas et de la revoir ? J'appréhendais de croiser son regard. Je me sentais honteux, coupable.
    
    Les jours suivants je dus faire bonne figure. Je n'en trahissais pas moins une certaine tristesse. Elle vint me morigéner. « Jeune home, vous faites grise mine. Vous devriez lever un peu le pied. Vous allez échouer si vous en soufflez pas. » Je ne pouvais décemment lui avouer la cause de mon mal. Une fois de plus le serveur s'en mêla. Il m'avait vu épier les frasques de la donzelle. Il crut devoir l'en informer. Je n'étais qu'un veule, un hypocrite et un espion. Dès le lendemain je sus à son regard fulminant qu’elle savait. Elle me fit signe de la suivre. Elle m'amena jusqu'au fameux parking.
    
    Je baissais les yeux. Ses paroles s'enfonçaient comme autant d'aiguilles dans la poupée molle de ...