La fessée...
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
fouetfesse,
Auteur: Guts, Source: Revebebe
... cuisses s’ouvrent sous sa puissance. Sa main cherche mon sexe. Ses doigts s’y logent avec facilité. Ils jouent, chatouillent mon intimité, énervant les parties les plus sensibles, dans les sursauts de mon corps.
— Hum… Ta coquille rose mouille, hum, tu aimes… ma tendre salope ! ironise-t-il gentiment et certainement avec ce sourire que j’aime tant…
Je sais qu’il aime que le degré d’humidité lui démontre l’emprise sur mon être, de mon corps à mon esprit. Qu’il aime réchauffer ma peau, mes mouvements des hanches, mes petits cris aigus, mes gémissements. Toutes les preuves constantes affirmant sa présence de plus en plus importante, voire absolue, dans les délices de la soumission.
Monsieur alterne les claques et les caresses. Du piquant à la douceur… de la dureté au frôlement. Il me retourne les sens jusqu’à que mon esprit ne soit plus qu’un corps à l’agonie et en demande permanente de lui.
Puis, d’un seul coup, le calme. Monsieur ne bouge plus. Uniquement enserrée à la taille, j’essaie de me relever doucement, mais je suis bloquée par la force de son bras. Il plaque ma taille sur ses genoux. Je suis haletante, frémissante et craintive à la fois. Mais toujours en attente de lui. Que se passe-t-il ? Quelques éternelles minutes s’écoulent. Ma fébrilité provoque des tremblements que je ne peux contrôler. Mon souffle s’apaise quand, soudain… Au moment où mon corps se relâche, où mes muscles s’abandonnent, s’abat comme une caresse enflammée, une claque qui résonne dans ...
... la pièce et qui fait vibrer jusqu’à mon sexe en fusion.
Par surprise, mon corps s’arque violemment. Mes lèvres s’étouffent d’un cri bruyant qui expulse le tissu de ma bouche… ce que recherchait Monsieur.
Mon dos se relève si fort en arrière que Monsieur me mord le rond de l’épaule. Mes seins retombent en s’écrasant sur la couverture. Ma tête plonge dans le coussin. De côté, mon regard aperçoit la morsure des dents sur ma peau. La trace de ce « O » rose dans mes chairs, mais qui, je sais, ne restera marqué que peu de temps. J’en profite pour l’ancrer dans ma mémoire. Souvenir de ce jour.
Du pied, Monsieur augmente la puissance du ventilateur qui est à moins d’un mètre. Le souffle se dirige sur moi. La brise de cet air frais augmente mes frémissements. Toujours des contrastes qui renforcent l’excitation. La chaleur brûlante, piquante, l’excitation à fleur de peau contre cette projection vive de froid qui hante mon derme en chair de poule. L’air s’infiltre entre mes cuisses et glisse sur ma vulve, mon bouton qui happe cette fraîcheur en se contractant.
Mon plaisir dépend entièrement de Monsieur. Troublant parcours où il est le chef d’orchestre de ces délices, l’accordeur de mes sens, le pianiste de mon corps, l’onduliste de mes chairs… et même le harpiste pinçant les cordes de mon esprit.
De baisers sauvages, il envahit ma bouche… d’odeurs sensuelles, érotiques, sexuelles.
Il prolifère dans mon nez… de troubles mots.
Il grave dans mes pavillons… des visions ...