La fessée...
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
fouetfesse,
Auteur: Guts, Source: Revebebe
La fessée… par Guts
L’air ambiant est lourd, moite en cette journée de juin. C’est à peine si une brise pénètre dans la pièce tamisée. Pourtant, on sent ce poids, cette puissance troublante.
Mais est-ce ma poitrine qui se presse ? Mon cœur qui s’enserre ?
Mes sens en attente… fébriles. Mon sang bouillonne. Il tape mes tempes comme un roulement de tam-tam africain.
Un bandeau de soie noire sur les yeux, je me prépare à l’imprévu. Monsieur m’a couché en travers sur ses genoux, sur ses cuisses musclées. Je sens qu’il trousse ma jupe. Elle est faite de deux parties : l’une collante et courte, enserrant mon fessier et le haut de mes cuisses, l’autre un fin voile transparent et long. Et, bien sûr, elle est noire comme l’élégance de la nuit. Elle erre sur mes hanches, découvrant une culotte de mousseline. Par la taille, il la prend en main et la fait remonter. Le fin morceau de tissu longe le sillon fessier et s’y insinue. Il se glisse entre les petites lèvres humides et pénètre mes chairs, écrasant au passage ma perle sensible, mon clitoris. Monsieur accentue la pression et creuse un sillon sombre dans ma chair veloutée. Ce qui m’oblige par la force du tissu à me cambrer encore plus, à offrir ainsi mes monts jumeaux scindés par cette bande noire qui les écarte légèrement. Mon cœur palpite. Il force ma poitrine à un début de respiration, voire d’halètements. La chaleur est telle que je sens une larme de sueur qui glisse sur mon séant. Elle est absorbée par le tissu. ...
... Mais aussitôt une autre arrive. Monsieur, d’un doigt, écarte la culotte du sillon, ce qui l’oblige à s’enfoncer encore plus dans la fente de mon abricot. D’un second doigt, il permet à cette larme salée et acide de se diriger, de flirter sur ma peau.
— Ma belle… cette goutte de sueur brille sur ton étoile si fraîche, quelle belle image ! dit-il, alors que ses mains empaument mes fesses, comme pour en sentir toute la fermeté, et les écartent.
Ses mains se baladent sur ma chair. Frôlant, effleurant… elles n’oublient aucune parcelle de peau… Des hanches, elles reviennent vers le centre. Des massages en petits ronds qui s’élargissent. Ils titillent mon épiderme de rousse, si fin, si sensible. Que c’est agréable, je me laisse aller doucement vers cette euphorie de tranquillité, de calme.
Ce silence avant la tempête qui engendre une angoisse, on sait qu’il va se passer quelque chose, mais quoi, mais quand ?
Brusquement…
Une claque sèche et sonore rebondit sur la fesse droite, puis sur la gauche, après tout pas de jalouse. Des râles montent de ma gorge. Je me déhanche, mais Monsieur me tient durement. Son bras puissant enserre ma taille pour m’empêcher de bouger. Une torpeur piquante m’envahit. Une décharge d’adrénaline enclenche des frissons qui parcourent mon derme.
Il arrache ma culotte souillée par la cyprine. Elle irrite ma peau par une caresse douloureuse. Monsieur me la fourre dans la bouche pour étouffer mes cris aigus et n’entendre que mes gémissements. Mes ...