Les six week-ends marquants d'Emilie (2)
Datte: 22/08/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... a retrouvé la clé et nous pouvons entrer dans la chambre. La porte à peine refermée, la passion nous embrase. Nos vêtements semés dans sur le chemin qui nous mène au lit devant lequel Émilie me gratifie d’une fellation énergique et profonde. Jamais elle ne m’avait sucé avec une telle ardeur. Elle se relève ensuite en retirant son string. Elle ne porte plus que son porte-jarretelles et ses talons. Surexcitante.
Émilie me désire immédiatement en elle et notre ébat est d’une intensité folle. Je prends un plaisir fou à faire l’amour avec elle et ses mots au terme de cette relation indiquent qu’Émilie à elle aussi pris son pied.
La nuit est douce, mon sommeil profond et mon réveil au delà de toute espérance. Quelques semaines après le début de notre relation, j’avais fait part à Émilie de mon désir de pratiquer la sodomie. Sa réponse avait été claire et elle ne souhaitait même pas en parler. Par la suite, j’étais revenu sur le sujet à raison de deux ou trois fois par année et j’avais essuyé les mêmes refus sans commentaire. Mais en mars, deux mois plus tôt, Émilie avait parlé de son expérience. Lorsqu’elle avait 20 ans, elle avait essayé avec son partenaire de l’époque et se souvenait surtout de la douleur qu’elle éprouvait lorsqu’ils le faisaient. Ils l’avaient pratiqué une dizaine de fois. Je l’avais questionnée :
— Si c’était douloureux, pourquoi acceptais-tu de le faire ?
Gênée, elle avait rougi avant de répondre :
— La troisième ou quatrième fois que nous ...
... l’avions fait, j’avais eu un orgasme tellement puissant et agréable que je voulais absolument le retrouver. Mais j’avais bien trop mal et ça m’a traumatisée.
La discussion s’était poursuivie sur une ouverture. Pas immédiatement, elle ne se sentait pas prête, mais Émilie n’était plus fermée.
Ce dimanche matin à l’hôtel, Émilie revient de la salle de bains et s’allonge sur le lit. Je sens que son sourire gêné cache quelque chose et ce quelque chose se matérialise en un petit tube qu’elle pose entre nous sur le matelas : "Lubrifiant". Nous nous regardons :
— Tu es sûre ?
— Oui.
Pendant plusieurs minutes, je prépare Émilie. Nous parlons et elle me dit que son ex n’avait jamais fait cela et n’avait jamais pris de temps pour le faire. Juste le lubrifiant et voilà tout. Là, petit à petit, je sens qu’Émilie se détend. Son anus s’ouvre, son sphincter se dilate. Elle me dit se sentir bien et décontractée.
— Je pense que c’est bon.
Émilie donne le feu vert et en cuillère, j’introduis mon sexe très lentement dans son anus. Émilie semble à l’aise et la pénétration se passe bien. Mes premiers va-et-vient s’accompagnent d’un commentaire rassurant d’Émilie :
— Ça n’a jamais été aussi bon...
Après quelques minutes dans cette position, Émilie demande à passer à quatre pattes. Je sors de ses fesses, mais y revient avec facilité après avoir remis du lubrifiant. Plus rapide puis plus profonde, la pénétration excite de plus en plus Émilie qui gémit bruyamment. Jusqu’à ...