Les six week-ends marquants d'Emilie (2)
Datte: 22/08/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... Mmmh...
Émilie halète au moment où je jouis en elle. Je me retire et elle file aux toilettes. Nettoyage rapide puis elle met sa nouvelle robe rouge, celle que je lui ai offert à son anniversaire quelques semaines plus tôt. Mi-longue et évasée.
Nous descendons et retrouvons nos amis déjà à l’apéro. Ils nous chambrent gentiment. Nous trinquons avec eux avant de passer à table. Le souper est succulent et chaque plat est accompagné d’un verre de vin. Les digestifs et autres alcools forts se succèdent ensuite. Passé minuit, le restaurant s’est bien vidé. Jérémy, qui était malade, monte se coucher avec sa copine. Livia et Pierre les suivent quelques minutes plus tard. De mon côté, j’ai encore envie de profiter un peu de la soirée. Un serveur nous propose de nous installer dans un salon, plus convivial et plus discret.
Nous nous y rendons à trois car le copain de Noémie monte se coucher. Cette dernière semble regretter cette décision, mais elle nous accompagne tout de même. Nous nous installons et Noémie dit à Émilie :
— Je suis venue vous chercher avant de manger.
A son sourire, je comprends immédiatement de quoi il en retourne. Émilie aussi, elle rougit et feint :
— Oui. Et ?
— Et vu comme tu gémissais, j’ai préféré ne pas toquer à la porte.
Émilie passe du rouge au blanc, livide :
— Tu... tu étais seule ?
— Rassure-toi, oui.
Nous rions et Noémie nous dit le plaisir qu’elle a à nous voir ensemble, notre complicité et la douceur qui émane de ...
... nous.
Nous buvons un dernier verre avant de monter. Deux étages avec des escaliers normaux avant un dernier étage avec un escalier plus raide et plus étroit pour accéder aux deux suites. Je ne sais pas pourquoi Émilie est partie en premier dans ce dernier escalier. Ni pourquoi Noémie l’a suivie. Mais au milieu de l’escalade, j’entends Noémie s’écrier :
— Coquine, va, t’as mis un porte-jarretelles !
Je relève instinctivement la tête pour découvrir que Noémie ne porte rien sous son collant chair. Je frissonne et termine la montée non sans y jeter encore quelques coups d’œil.
Devant nos portes, Noémie est hilare. Émilie est un peu gênée, mais semble assumer sa tenue.
— Tu as bien raison, ma belle, c’est les 30 ans de ton homme, tu te devais d’être sexy. Tu aurais dû me dire, j’en aurais mis un aussi.
— C’est la première fois que je le mets pour une soirée avec des amis.
Noémie sourit.
— Je suis fière de toi, ma puce.
Nous nous faisons la bise et nous souhaitons bonne nuit. Noémie fait un pas en direction de sa porte puis se retourne.
— Émilie, attends. Il faut que tu m’aides à ouvrir ma robe. Avec mon épaule douloureuse, je ne peux pas ouvrir la fermeture Éclair.
Émilie recherche la clé de la chambre dans son sac et je m’approche de Noémie.
— Tu permets ? Je sais que tu n’as pas de culotte.
Elle éclate de rire et se tournant, relève ses cheveux pour que j’ouvre la robe jusqu’à l’orée de la raie de ses fesses.
— Merci, tu es un amour.
Émilie ...