1. La salope de l'usine (1)


    Datte: 22/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sexyelfes, Source: Xstory

    ... les yeux. Je marche, à peine vêtue au milieu de mes collègues, des traces de sperme nettement visibles sur mes cheveux et sur ma peau. Des réflexions ont commencé à fuser : « Eh bien, t’as chaud au cul au toi ! » ; « T’as pas peur de t’enrhumer ? » ; « Je crois que tu as une tâche là ! » ; « Alors, salope, on aime se balader à moitié à poil ! » et j’en passe et des meilleures. Ce jour-là, un homme, un seul homme a osé passer sa main sous la blouse pour palper mon cul. Mais ce n’est que le début...
    
    Je ne vous ai pas précisé que l’usine est séparée en deux, les hommes travaillent d’un côté et les femmes de l’autre côté, pour éviter les problèmes. Cependant, il y a une exception pour moi puisque je travaille côté « homme », et ce n’est pas un hasard, cela a été voulu par le patron : ainsi je suis à portée de main (entres autres) de tous les hommes de la boîte.
    
    Dès le lendemain, tout juste arrivée, j’ai compris que tout le monde pouvait disposer de ma personne et de mon corps comme il l’entendait, et les mecs ne se sont pas privés bien sûr. Avant la pause de 10 h, j’avais été tripotée par une bonne dizaine de types dont je ne connaissais pas le prénom et qui ne voulait pas savoir le mien. Une tape sur les fesses, un sein saisi en passant, la chatte caressée, les tétons pincés, un doigt enfoncé par-ci par-là... C’est étrange de voir que tous les mecs participent à ce petit manège sans même rougir.
    
    A partir de là, je ne vais plus vous raconter les choses dans l’ordre ...
    ... chronologique parce que tous les jours se ressemblent et se mélangent dans ma tête dans mes souvenirs, mais voici tout de même quelques-unes des situations les plus salaces que j’ai pu vivre.
    
    Je suis devenue le jouet sexuel de tous les hommes de l’usine. Je me sens à la fois humiliée et comblée. C’est une sensation étrange. Je sais que chaque homme de l’usine a envie (et va) abuser de moi.
    
    Avec accord du chef, tous les mecs vont donc profiter de mon corps et de mes talents. Parfois ils m’obligent à travailler la blouse grande ouverte et chaque mec qui passe peut me tripoter à foison. Il ne se passe pas un jour sans que je ne serve de jouet à au moins un de ces messieurs. Les pauses sont toujours une occasion de venir me prendre, de me baiser et autres actes dans la salle commune. Je n’ai toujours pas le droit de me laver avant la fin de la journée, donc : de la pause matinale (parfois même avant cela) jusqu’au soir, je dois garder sur moi les traces de semence de mes amants collègues. Ils me giclent dans la chatte, dans le cul, sur le corps, sur le visage, dans la bouche, selon leur préférence et moi, docile, je me prends tout le foutre sans protester, je m’en délecte même. Je travaille, souillée du jus d’amour de tous ces hommes. Parfois ils me prennent à plusieurs, ils m’entourent et chacun aura sa part de la jeune employée que je suis.
    
    Il m’arrive de jouir, mais je n’ai pas toujours le temps et eux ils s’en moquent. J’aime être prise par plusieurs hommes à la fois, les ...
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