La salope de l'usine (1) - Histoires de Sexe

La salope de l'usine (1)

Cette histoire se déroule alors que je viens tout juste d’avoir 18 ans. Pour bien comprendre les évènements à venir, je dois vous faire un petit topo de ce que j’étais et de ce qu’était ma vie à cette époque. Je mesure 1 m70 et je suis plutôt fine. J’ai de longs cheveux bruns et un regard très expressif. De jolis seins bien ronds et fermes et un beau petit cul. Je ne suis plus vierge depuis mes 13 ans et je suis déjà très libérée sexuellement. J’aime le sexe et j’assume ; j’ai un corps attirant et sexy, je le vois dans le regard des hommes. A la demande de mes copains de sorties, j’ai décidé de ne plus porter de sous-vêtements. Je suis un peu fofolle à ce moment-là de ma vie et mes parents aimeraient me canaliser un peu.

Ils décident alors de me faire embaucher dans une usine de fabrication de gâteaux avec un CDD de six mois. Selon eux, le travail me fera le plus grand bien. C’est un ami de mon père qui tient cette entreprise et il est plus ou moins d’accord pour me prendre, il l’a bien fait comprendre à mes parents. Pour être sûrs que j’accepte la proposition de boulot, mes parents me promettent de me payer le permis si je tiens dans l’usine pendant cette période de six mois et si le patron n’a pas à se plaindre de mon attitude.

C’est mon premier jour de travail, et je sais que pour bosser à la chaîne dans l’usine, nous devons porter une blouse. Je ne me suis donc pas embarrassée, je porte une minijupe ainsi qu’un simple top blanc décolleté. J’ignore qu’au moment où ...

... je traverse le parking, le patron m’observe depuis la fenêtre de son bureau situé au premier étage. Je file au vestiaire qui m’est réservé, passe ma blouse par-dessus mes fringues du jour. La journée se passe bien même si ce travail est plutôt monotone. Je suis à l’emballage, tout au bout de la chaîne. Ce n’est pas très emballant si j’ose dire. C’est le soir, une sonnerie retentit dans le bâtiment pour indiquer que c’est l’heure d’arrêter le travail. Tout le monde se dirige vers les vestiaires. Je suis la dernière encore dans la salle principale et juste avant d’entrer à mon tour au vestiaire, le comptable vient me voir discrètement pour me dire que le patron veut me voir.

Je suis convoquée dès mon premier jour de boulot et donc je suis forcément inquiète. Je retire ma blouse, prends mon sac et je pars vers l’escalier.

Je monte les marches et frappe à la porte du bureau du boss. J’entends sa grosse voix me dire d’entrer. Je pénètre alors dans le bureau. Il me demande de fermer la porte. Il me regarde d’un air sévère et déclare alors : « Mademoiselle, vous vous croyez où ici ? »

— C’est-à-dire ? Je ne comprends pas Monsieur, réponds-je, interloquée.

— Cette façon de vous habiller !! Je vous ai vue arriver sur le parking ce matin ! Ce n’est pas une discothèque ici, c’est un lieu de travail !

— Mais oui, je sais, mais euh avec la blouse, on ne voit pas ce que je porte dessous, donc je pensais que ce n’était pas très grave, dis-je honteuse, la tête baissée.

— ...