COLLECTION AGENT S69. Agent S69 (3/14)
Datte: 16/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... qui leur permettait de les faire souffrir deux fois plus jusqu’à leur mort.
• Avant que je l’encule patronne, regardez ces jolies pinces crocodiles que je vais lui mettre sur la pointe de ses seins, combien croyez-vous qu’ils soient capables de supporter, souvenez-vous de la dernière avaient 120 grammes à chaque pointe.
Je commence à 140, dans deux secondes elle va tout vous dire sur ce qu’ils projetaient de faire avec l’autre connard qui se rigidifie dans son frigo.
La femme en rouge retire sa main me donnant une impression de vide.
Encore un hurlement quand la pince se referme sur ma fraise droite et je hurle une deuxième fois quand il attaque la deuxième, ce n’est rien comparé à la douleur quand prenant les poids dans chacune de ses mains il les place sur les anneaux prévus pour les recevoir.
Il est sympa ce grand connard, il les relâche lentement ce qui évite que tous ne s’arrachent, mais en baissant la tête je vois que mes seins saignent, à ce que je vois, moi qui suis si fière de ma poitrine ferme à souhait pour mes amants qui adorent les caresser.
Ils pendent comme peuvent pendre les seins de ma grand-mère qui, hélas, nous a quittés, je pense à maman qui était fière que sa fille soit forte en langue et qui devait suivre le même chemin que le sien, je pense, je pense, je pense.
Je pense encore pour éviter de voir ce qui va m’arriver quand l’adjoint ouvre une fermeture dans sa combinaison noire et qu’il en sort une verge aussi grosse mais moins ...
... longue que celle du cheval que je voyais saillir la jument de grand-père et qui devait leur donner un poulain l’année suivante.
• Tu parles, nous serons toujours gagnants, tu vas souffrir pour rien.
• Ta main dans ma chatte, j’ai joui continu, j’ai des réserves espèce de vieille salope.
• Détache là, met là à quatre pattes et sodomise là.
Quand l’homme qui a fait sortir sa bite me détache inutile de me demander de me mettre à quatre pattes je m’écroule, il me relève la croupe et d’un coup m’emmanche.
J’ai l’impression que l’on me met un coup de fusil dans l’oignon, il me pilonne m’entraînant des frissons dans le dos.
• Putain continu mec.
C’est le dernier mot dont je me souvienne, la décharge est si forte que je tombe dans les pommes.
• Reviens à toi Juliette.
• Non, je m’appelle Adrienne, j’étais à Madrid pour récupérer mon fiancé, nous habitons Bordeaux.
• C’est bon Juliette, tu es dans ta nouvelle chambre, tu es devenue l’agent « S69 », bien venue dans mon service.
• Virginie où suis-je, dans quelle chambre ?
Je comprends de moins en moins, je suis nue, elle est nue dans un lit immense avec des draps de soie, sur une chaise face à moi la tenue rouge de dominatrice avec la cagoule et la cravache, pliée comme seule une femme sait le faire, je sens quelque chose sur mes seins endoloris qui semblent avoir été soignés, je trouve mon doudou qui était dans ma chambre à l’université.
• Je vais tout t’expliquer, cette chambre est bien plus sympa ...