1. COLLECTION AGENT S69. Agent S69 (3/14)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... tu reviennes à toi, ton copain nous a dit que tu étais la chef de la mission et que tu savais tout sur le dissident Russe qui devait te donner les plans d’une arme destructrice mais primordiale pour mon pays.
    
    • Ok, je vais parler, toi et tes copains vous êtes des putes et tu peux me faire tout ce que tu veux, tu n’arriveras qu’à me faire jouir.
    
    • Patronne, elle vous fait croire qu’elle jouit cette pute, fister là, nous verrons bien si elle prend du plaisir ou si elle va vous demander à tout nous dire.
    
    • A moins que tu l’encules Petrov, je suis sûr qu’elle apprécierait de prendre ta grosse bite dans le cul, souviens-toi, la dernière que nous en avons eu une ici, elle a craqué persuadé que tu allais la déformer à vie.
    
    C’est en Russe qu’il parle, mais je reste stoïque évitant de montrer que je les comprends, mes mains me font mal et j’ai des difficultés à tenir sur mes jambes après la flagellation que cette grande maquerelle rouge m’a infligée finissant par me faire jouir me prouvant définitivement que je suis une folle du cul.
    
    • J’ignore de quoi vous voulez que je vous parle, si je savais la moindre chose sur ce papier qu’un homme m’aurait remis, je vous le dirais, vous me parler d’un dissident et d’une arme terrifiante, ce que je sais c’est que j’attendais mon fiancé qui était au match et que je devais ramener à la maison.
    
    • Tu me forces à faire des choses que j’aime faire aux filles, mais avec leur consentement, tu vas voir, mon gant de cuir va m’aider à ...
    ... glisser au fond de ton vagin.
    
    Elle avance sa main et me caresse le clitoris, ce qui me fait mouiller, d’une main elle écarte mes grandes lèvres de l’autre, elle me rentre trois doigts, ma chatte commence à s’échauffer.
    
    • Tu veux me fister comme ce pauvre con, te le suggère salope, mais la seule chose que je peux te dire, c’est que je m’appelle Adrienne Lemarchand, j’ai vingt-quatre ans et j’habite à Bordeaux ou je vais à la fac et j’attendais mon fiancé qui était au match.
    
    Je fini juste de parler de la fac quand je sens mes chairs s’écarter se dilatant comme jamais et le poignet entrer en moi, je baisse ma tête et j’ai l’impression qu’un ver géant comme dans les films de science-fiction est en moi.
    
    Ma tortionnaire fait bouger ses doigts que je vois tendre puis détendre la peau de mon ventre, la douleur passée la jouissance que je ressens est énorme à tel point que je perds conscience dans un grand cri.
    
    Des malades, j’ai affaire à des malades, car ils prennent un jet d’eau à très forte pression pour me faire revenir à moi, j’espère que ces bourreaux vont bientôt en finir avec moi, car je sens mon cœur battre comme jamais sous mon sein gauche.
    
    Des malades, le dénommé Petrov ouvre une armoire non loin de moi et je peux voir des instruments de torture digne de ceux dont l’inquisition se servait pour faire parler les suppliciés.
    
    Nul doute qu’avec certaines tenailles ceux qui n’avaient rien à dire retrouvaient l’usage de la parole dans le sens où ils voulaient ce ...