Avec Ondine : A la campagne
Datte: 21/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
... face.
Sans voix, sans très bien m'en rendre compte, je me laissais tomber à genoux à un mètre d'elle, mes yeux rivés sur son sexe, après une dizaine de secondes de contemplation je vis quelques gouttes passer entre ses lèvres, un petit jet de pisse sortir de sa chatte et puis soudain le Niagara. Son urine était jaune paille, dans le soleil couchant, on aurait dit de l'or liquide. Un petit cratère mousseux se forma sur le sol. J’avais la gorge sèche, je bandais comme un âne, tétanisé et émerveillé par ce spectacle pourtant si naturel. Quand elle eut fini, je regrettais de n'avoir pas proposé ma bouche comme réceptacle.
Elle se releva et en me regardant elle dit :
• Je n'ai rien pour m'essuyer, veux-tu faire quelque chose pour moi ?
Tout ce que tu veux répondis-je, la gorge toujours nouée.
• Alors lèche-moi.
Bandant comme un porc, je m'asseyais derrière elle et penchant la tête en arrière je me faufilais entre ses cuisses. Elle avait la peau douce, de là où j'étais, je pouvais voir le haut de ses cuisses, son sublime minou, une toison châtain clair et son petit ventre plat. Je tendis ma langue vers son sexe et le léchais. De là-haut, elle me regardait, je vis ses yeux devenir plus clairs, de plus en plus vagues. La dernière goutte d'urine avait un petit goût salé et un goût de trop peu. Je regrettais mon manque d'initiative des quelques minutes précédentes.
Ne voulant pas recommencer deux fois les mêmes erreurs, je fermais les yeux et m'activais. Prenant ...
... son minou dans ma bouche comme pour le manger, j'écartais ses lèvres avec ma langue et pénétrais dans son intimité. Faisant tourner ma langue pour rechercher les derniers soupçons de sa pisse, j'aspirais tout ce que pouvais. Trouvant son clitoris, je l'aspirais, le léchais. Je sentais Ondine qui se faisait de plus en plus lourde sur moi. Rouvrant les yeux, je vis qu'elle avait fermé les siens et qu'elle était prés de l'orgasme. Encouragé, je mis encore plus d'ardeur si c'était possible et la récompense vint en un flot de cyprine que je dégustais comme on déguste un grand cru.
Ondine se redressa et reprenait ses esprits, moi, je m'activais pour réparer les dégâts occasionnés par ce concentré de femme. Brusquement, elle se retira, remonta son short et sa petite culotte et me dit ;
C'est trop bon, arrêtons la sinon on ne pourra plus se retenir et je n'ai pas de capote.
Facile à dire, tu vois dans quel état je suis. Tu ne peux pas me laisser comme ça ? En effet, la bosse de mon pantalon n'était pas très discrète. Elle se mit à rire et continua :
• Tu la sors et tu te branles devant moi.
Penaud et émoustillé par cette situation inimaginable quelques heures auparavant, je me remis à genoux, m'asseyant sur mes talons, je sortis ma bite, c'est une bite de modèle standard mais après ce que je venais de vivre elle était à sa taille maximale et le gland était complètement violacé. A force de me faire mal, ma bite ne me faisait plus mal.
• Une dernière requête, Pendant ...