Avec Ondine : A la campagne
Datte: 21/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
Avec Ondine à la campagne
En déplacement professionnel à Lyon, j'ai rencontré Ondine au cours d'un dîner ou j'avais été invite par un collègue. Elle était la fille d'un de ses amis venus en famille à ce dîner.
Etudiante à Paris, elle devait commencer une nouvelle année la semaine suivante. Apprenant au cours du repas que je rentrais à Paris le lendemain, elle me demanda si je pouvais la déposer à son studio parisien.
Je ne l'avais pas spécialement remarquée jusqu'à ce moment là, peut-être parce que j'avais au moins l’age de son père, mais maintenant je ressentais un intérêt nouveau pour elle. Ondine devait avoir 25 ans environ, la beauté de la jeunesse, mince, des petits seins, elle avait un port altier qui lui donnait beaucoup de classe. Elle avait des hanches étroites et surtout un petit cul sublime, rebondi, on aurait presque pu s'asseoir dessus.
Le lendemain, vendredi, je passais la prendre. Elle avait beaucoup de bagages et ses parents étaient ravis et rassurés. Jusque là tout était normal.
Sur la route, après quelques banalités, la conversation était de plus en plus débridée et une complicité semblait s'installer entre nous. Le courant semblait bien passer, nous en étions au tutoiement et Ondine de plus en plus appétissante.
A mi-chemin. Je quittais l'autoroute pour faire le plein d'essence dans un supermarché. Quelques kilomètres plus loin, nous en étions au flirt quand Ondine manifesta une grosse envie de faire pipi.
Nous étions en pleine ...
... campagne et le jour déclinait. Je finis par trouver un endroit discret pour garer la voiture. Ondine se dirigea vers un petit bosquet distant d'une cinquantaine de mètres. Je décidais de profiter de l'occasion pour me soulager moi aussi, je la suivis.
Elle marchait devant moi, elle portait un short genre caleçon en tissu très léger et un t-shirt plutôt ample, rien de très érotique. Peut-être était-ce l'odeur de la campagne en cette fin journée d'automne très chaude, toujours est-il que mon regard se fixa sur son cul, ses deux mappemondes se balançaient au rythme de son pas, la raie bien marquée, je m'imaginais en train d'enfuir mon visage dans cette fente, de la lécher, de mettre ma langue dans son petit trou, un début d'érection se faisait sentir.
Complètement absorbé par mes pensées cochonnes, je ne m'étais pas rendu compte que nous étions arrivés dans un endroit à l'abri des regards de la route. Elle se retourna vers moi, un grand sourire goguenard et les sourcils faussement interrogateurs.
• Tu veux regarder ?
Je ne savais pas quoi répondre, la bosse sur mon pantalon manifestait mon trouble, j'avais l'air complètement idiot devant une gamine qui avait l’age de ma fille. Sans se départir de son sourire, elle baissa son short au niveau des genoux, puis sa petite culotte et je pus apercevoir sa chatte avec ses petites lèvres bien serrées. Elle se baissa en écartant ses jambes pour que je puisse ne rien manquer du spectacle. Les derniers rayons du soleil l’éclairaient de ...