1. On a toujours besoin d'un plus petit que soi


    Datte: 16/04/2018, Catégories: fh, inconnu, taille, poilu(e)s, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Zezette et Felix, Source: Revebebe

    ... quelques minutes jusqu’au moment où nous arrivons à l’avant-dernière station.
    
    Là, c’est un flot continu de personnes qui montent, au point qu’il me faut me lever, tout comme mon voyeur. Les personnes s’entassent, chacun se serre comme il peut, en essayant de conserver un minimum d’espace vital. L’afflux de voyageurs faisant, le nain a suivi le mouvement et, hasard ou non, se retrouve mon plus proche voyageur. Autant assis, cela ne se voyait pas, autant debout c’est un vrai nain d’un mètre trente à tout casser. Les portes se referment et nous voilà repartis. Le départ, comme souvent, provoque une secousse et tous ensemble nous tanguons dans le sens de la marche. Tous, sauf le nain, car n’ayant pu se saisir de la barre verticale de soutien, il vient s’écraser contre moi et par réflexe, il pose sa main sur ma cuisse pour se rattraper. Il s’excuse platement et je ne lui manifeste aucun mécontentement.
    
    Sans doute a-t-il pris cela pour un encouragement car alors que le train poursuit sa route, je sens à nouveau sa main se poser sur ma cuisse mais là, non pas pour se rattraper, mais bien pour toucher. Je décide alors de le toiser mais alors que j’attends qu’il prenne cela pour une réprimande, il la laisse en place et accentue sa prise. Le nombre important de voyageurs et le peu d’espace pour se mouvoir annihilent toute tentative de fuite et ce sacré nain l’a bien compris.
    
    J’ai vraiment hâte d’arriver à quai car si la situation n’a rien de critique, le nain n’est ...
    ... franchement pas mon type d’homme.
    
    C’est sans compter sans la loi de Murphy qui fait retentir la sirène d’alarme de la rame dans laquelle je me trouve. Le train s’immobilise brutalement et le nain déjà agrippé à ma cuisse en profite pour gravir quelques centimètres supplémentaires. Compte tenu de la longueur de mon manteau et de la largeur des pans, son bras inquisiteur est entièrement caché et je ne peux empêcher ses manœuvres ni me dégager. Autant au début, la situation m’amusait, autant elle finit par m’indisposer par la tournure qu’elle prend.
    
    Nous sommes maintenant immobilisés et serrés comme des sardines, les gens commencent à pester à voix haute. Mon nain, lui, est affairé sur ma cuisse et chaque fois que j’essaie de me dégager, il remonte le long de ma cuisse tant et si bien que je sens maintenant le bout de ses doigts tout en haut de ma cuisse.
    
    Afin de bloquer son ascension, je décide alors de serrer mes cuisses le plus possible en me disant qu’il va finir par lâcher prise. Grave erreur ; au moins aussi adroit que Félix dans ses gestes, mon changement de posture lui permet de saisir sa chance et décale immédiatement sa main du haut de main vers l’intérieur de ma cuisse. J’ai beau frotter mes jambes l’une contre l’autre pour évincer ce membre étranger, l’effet obtenu est contraire, il ne fait que contribuer davantage à l’installer à plat dans ma fourche. Pire, ce pervers de tiroir réussit à saisir le collant au bord de l’empiècement et je le sens tirer les fibres pour ...