1. On a toujours besoin d'un plus petit que soi


    Datte: 16/04/2018, Catégories: fh, inconnu, taille, poilu(e)s, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Zezette et Felix, Source: Revebebe

    ... marche arrière. Je décide d’aller au bureau sans culotte. Le string rouge regagne ses homologues dans le tiroir de ma commode et j’enfile mon collant. Un collant tout ce qu’il y a de plus classique mais d’une transparence telle que mon absence de sous-vêtements ne peut passer inaperçue. J’enfile ma jupe, chausse mes cuissardes et vais dans le couloir m’observer devant la glace. Je me penche légèrement afin de m’assurer que je peux conserver toute latitude de mouvement sans créer une émeute à caractère sexuel. De fait, je me trouve plutôt séduisante pour ne pas dire bandante et si Félix était là, la bosse de son pantalon ne me démentirait pas.
    
    Ainsi vêtue, j’enfile mon manteau et prends le chemin du bureau. En plus du climat pluvieux, la température s’est rafraichie et il ne me faut pas plus de quelques centaines de mètres pour sentir l’air frais s’engouffrer entre les pans de mon manteau et remonter jusqu’à ma forêt vierge. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas habillée de la sorte et je dois dire que cette sensation de froid sur mon intimité nue n’est pas sans me troubler. Félix ne me contredirait pas, lui qui ne porte jamais de boxer en dehors des jours travaillés (et encore… il arrive à ce cochon d’aller travailler sans sous-vêtements !). Bref, c’est très agréable et le ressenti est à la hauteur de ce que j’en attendais.
    
    Arrivée à la gare, je me dirige vers mon quai habituel en direction de Saint-Lazare. Quelques minutes d’attente et de réfrigération ...
    ... supplémentaire de ma chatte, mon train pointe le bout de son nez. Je m’engouffre dans le wagon afin d’essayer de trouver une place assise. À défaut d’être dans la partie fixe des places assises, je me retrouve en bout de wagon sur un strapontin en vis-à-vis d’un nain (une personne de petite taille et non un enfant comme les surnomme affectueusement Félix). Ce n’est pas le Pérou car je sais qu’il faudra que j’abandonne ce siège de fortune avant d’arriver au terminus mais c’est mieux que rien.
    
    Comme souvent, j’écoute de la techno sur mon MP3 pendant que je lis un gratuit distribué à l’entrée de la gare. Les minutes s’égrènent, cette lecture de potins et d’informations tronquées me saoule. Mes yeux reviennent alors à l’horizon et je constate que le nain a les yeux rivés sur moi ou plutôt sur mon entrejambe. Sans m’en apercevoir et les vibrations du train aidant, les pans de mon manteau se sont séparés et je prends conscience que le sacripant se rince l’œil à loisir. Faisant mine de rien, je décide de croiser les jambes pour masquer le panorama. Mais mes hautes bottes me gênent et je me remets dans la position initiale. Immédiatement, les yeux du nain, tels des radars de présence, détectent la faille vestimentaire et scrutent autant qu’ils le peuvent.
    
    Étant presque arrivée à bon port, je décide de lui en donner pour son argent ; j’amplifie donc volontairement l’angle de mes jambes. Au vu de la rougeur qui envahit son visage, je constate que la vision le ravit. Ce petit jeu dure ...
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