1. Contrainte 07 - Le Bizutage


    Datte: 21/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... après cette semaine d'intégration, que s'est-il passé? T'ont-ils encore bizutée?
    
    - Non, dès le lundi suivant la semaine d'intégration, je n'ai plus été ennuyée par les anciens. Mes trois tourmenteurs se sont conduits comme de parfaits gentlemen pendant toute l'année scolaire. Seul Dimitri conservait toujours un sourire narquois.
    
    Une fois et une seule fois, à l'approche des grandes vacances, Gabriel a fait valoir un privilège :
    
    - Ma belle Françoise, tu as été ingrate envers moi. En effet, je t'ai ouvert la porte de la soumission, je t'ai fait entrer dans l'univers de l'humiliation et tu ne m'as même pas remercié. Pourtant, tu le devrais car je te prédis une vie bien remplie de ces émotions.
    
    Au fond, je savais qu'il avait raison. Passé la dureté des événements, je les avais revécus sans cesse dans un imaginaire, tant de rêves que de cauchemars. Je ne soupçonnais pas alors à quel point ma vie de femme serait enflammée de ces brûlures extrêmes.
    
    - Mais... comment te remercier Gabriel... eh, comment vous remercier majesté?
    
    - Entre avec moi aux chiottes des mecs, ordonna le garçon, appuie-toi sur le lavabo, cambre bien les reins.
    
    Elle dit à Lucie :
    
    - Tu vois, j'ai repris le vocabulaire du bizutage. C'est venu naturellement, je l'ai appelé « majesté ». J'ai tenté de l'emmener dans une cabine au motif que d'autres garçons pouvaient entrer. Tu te doutes bien maintenant qu'il s'en moquait éperdument, voire même qu'il le souhaitait. Il a remonté ma large robe au ...
    ... dessus de ma tête puis a baissé brutalement mes sous-vêtements.
    
    - Qu'est ce que c'est que ces fouffes de merde! Des collants, une culotte! Ma pauvre, tu n'as donc rien compris? On t'a baladée à poils comme personne ne l'a jamais été, tu as montré ton cul partout, à tous et tu trouves le moyen de mettre ces fringues de vielle!
    
    Il a dégagé un pied des sous-vêtements pour que je puisse l'écarter de l'autre. Sa main est venue entre mes jambes.
    
    - T'as toujours des poils aussi long, on dirait même plus long qu'avant... t'es mouillée comme une piscine... Fais-moi voir ce trou que mes potes ont tant vanté.
    
    Ses doigts ont écarté mes fesses, caressé mon anus, l'ont humidifié de mes propres sécrétions. Il a enfoncé un pouce, j'ai poussé une sorte de « pouf » de surprise. On a beau s'y attendre, comme chez le médecin, mais ça fait toujours bizarre. Ensuite sa queue à pris sa place au bord. J'ai espéré qu'il soit doux, lent, progressif. Hélas, comme pendant mon horrible semaine d'intégration, il a agi à l'opposé. A l'instar de Dimitri, il s'est amusé à de courts et brutaux enfoncements-retraits jusqu'au moment où il a poussé jusqu'au bout. Je me suis retenue de crier pour ne pas attirer l'attention, j'ai serré les mains sur les bords du lavabo et j'ai subi sans plaisir. Quand il a eu terminé son acte, une autre queue a pris la place ; un type que je n'avais pas entendu entrer, trop occupée à mes maux. Moins méchant et déjà ouverte, je l'ai enduré plus facilement.
    
    Après ça, ...