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Roide mouvie
Datte: 20/08/2020, Catégories: fh, inconnu, poilu(e)s, amour, Oral fsodo, aliments, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... c’est aphrodisiaque… Quand il n’y aura plus de requins ou de rhinocéros, que trouvera-t-on d’autre comme aphrodisiaque ? Peut-être des couilles de Chinois séchées ? Si vous désirez sauver un requin, mangez un Chinois. Il venait de donner un cours d’écologie vite fait. Le soir commençait à tomber ; ils firent un petit tour dans le village. Le Pont de Montvert by night n’est guère animé, bien qu’aujourd’hui il restait quelques promeneurs. La fraîcheur s’installait. Nathalie mit un gilet sur ses épaules. — J’ai un peu honte ; vous allez avoir froid dans la voiture. Ça ne me dérange pas en fait de partager le même lit. En tout bien tout honneur. — J’ai déjà dormi à la dure. — Non, non, j’insiste. Je ne tiens pas à vous rendre malade. De plus, vous êtes fatigué par la route. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent dans la chambre, tout intimidés. Il la laissa utiliser la salle de bain en premier, faire sa toilette et se changer pour la nuit. Il regardait à la fenêtre quand elle revint. Il évita de l’observer, mais alors qu’elle se glissait dans le lit il eut la vision fugace d’une jolie jambe en partie cachée par un long tee-shirt. Il se lava, passa un caleçon et revint. La chambre était sombre ; il ne savait pas si elle dormait. Il se coucha le plus doucement possible. — Où nous emmènerez-vous demain ? Elle s’était calée sur le bord du lit. Le plus loin de lui. — J’ai une petite maison familiale dans les Vosges, près de Gérardmer, à Xonrupt exactement. Je ...
... m’y rends l’été, quand il fait trop chaud chez moi. C’est un chalet. Mon fils connaît bien. Ils s’y sont peut-être cachés. — J’espère. Vous avez l’air confiant ou je me trompe ? — Dormez bien ! Il n’avait pas envie de lui répondre par la négative et déclencher une nouvelle crise. __________________ Il était 9 heures lorsque Sylvestre ouvrit un œil. Il n’arrivait plus à savoir où il se trouvait. Surtout que quelqu’un semblait collé à son dos : il possédait un troisième bras sur le ventre, et deux pieds étaient glissés entre ses jambes. C’était une femme. Qu’avait il bien pu faire hier soir ? Tout lui revint lorsque la personne en question se réveilla aussi. — Que faites-vous là ? Qui êtes-vous ? — Madame Astier, bonjour. Bien dormi ? — Oh, c’est vous, lui dit-elle en se sauvant à l’autre bout du lit. — Vous aviez raison, il fait un peu frais ce matin. Merci de m’avoir réchauffé. Il lui sembla discerner un peu de confusion sur son visage. — Je vous laisse traîner un peu au lit ; je vais me débarbouiller et m’habiller. Avant de pénétrer dans la salle d’eau il eut de nouveau la joie de voir une jolie cuisse sortie de sous la couette. Il avait oublié combien une femme pouvait mettre de temps à faire sa toilette, enfiler une robe et se passer quelques traits de maquillage sur les yeux et les lèvres. À 10 heures 30 ils terminaient le petit déjeuner sur la terrasse alors que la patronne préparait les tables pour le repas de midi. Ils gênaient un ...