-
Roide mouvie
Datte: 20/08/2020, Catégories: fh, inconnu, poilu(e)s, amour, Oral fsodo, aliments, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... maintenant. — Je t’ai crié alors que tu ne m’aimais pas et me suis remise à pleurer. Je n’arrêtais pas de crier ou de pleurer. — Ça me revient : pour te prouver le contraire je t’ai enduite de Nutella et t’ai léchée partout. — Tu en avais mis sur mes seins, ma minette. Tu disais que tu n’avais jamais goûté de Nathalie au Nutella. À ce moment sa fille passa la tête par la fenêtre et cria : — D’ailleurs, Sylvestre, tu as encore du chocolat sur les lèvres et le bout du nez ! — Mon père fourre son nez partout, c’est bien connu. — Je dois dire que quand tu as léché le chocolat, surtout sur le bout de mes seins et… plus bas, mon cœur s’est mis à battre comme jamais. C’était la première fois que quelqu’un me faisait ça. Sylvestre avait la bouche de plus en plus sèche. — Mon Dieu, que c’était bon ! J’avais oublié qu’il y avait des points aussi sensibles sur mon corps. Quand tu as posé tes lèvres sur mon sexe, j’ai cru exploser ; mon ventre s’est liquéfié. Il hocha la tête, affirmatif. — J’ai eu honte aussi. — Pourquoi ? — Tu as dû le remarquer, je suis assez… touffue. Je ne m’épile pas, je ne suis pas comme certaines femmes toutes lisses. — La seule chose qui m’ait marqué, c’est que c’est tout doux. Comme une jolie petite bête, un alpaga. — De l’alpaga ? — C’est un animal que j’adore. Dans la cuisine, Jan murmurait : — C’est la plus étrange déclaration d’amour que j’ai jamais entendue. — Ils sont si mignons… — J’espère simplement qu’il ne va ...
... pas lui dire que son alpaga lui a craché au visage. — Impossible d’être sérieux trente seconde avec toi, ronchonna Marie en lui flanquant une tape sur les fesses. Heureusement, les deux parents n’entendirent rien de cet aparté. — En tout cas j’ai apprécié, répondit Nathalie. Rougissante, elle semblait presque regretter de l’avoir avoué. Sylvestre avait la voix enrouée lorsqu’il lui dit : « Tout le plaisir était pour moi. » Pour libérer un peu la tension, il tenta de reprendre la conversation : — On en tenait une bonne ! — Ce n’est pas fini : tu m’as mordue, dit-elle en montrant son épaule. Il pouvait voir des traces de dents. — J’étais à genoux sur le canapé ; tu étais derrière moi, tu me tenais par les hanches et tu me bourriquais. Tu disais que tu étais mon grand loup, ma Bête des Vosges, et tu poussais de grands « Ahoouu ! » — Oh non, c’est pas vrai ! La Bête des Vosges… — Je dois t’avouer quelque chose : je n’avais plus jamais fait l’amour depuis la naissance de Marie. — Ah bon ? dit-il d’une petite voix. Il repensa aux toiles d’araignées. — Je ne regrette pas de t’avoir rencontré. J’ai vraiment aimé ce que nous avons fait. Je n’étais pas aussi saoule que ça. Elle semblait tout intimidée en le confessant. — Moi non plus. Je me souviens même de te voir assise sur moi, te secouant en tous sens en criant « Encore, encore ! » — Toi, tu répétais en boucle « Nathalioui, Nathalioui… » — Marie ? Il faut vraiment qu’on les surveille. De ...