1. Au lac


    Datte: 19/08/2020, Catégories: fh, frousses, couple, bain, amour, volupté, pénétratio, Auteur: Ed Benelli, Source: Revebebe

    ... décale du bout des doigts et fait glisser le long du bras.
    
    Sophie respire doucement, me regarde les yeux pétillants. J’entraîne le soutien-gorge dans le mouvement. Je ne veux plus de barrière sur sa peau satinée. Elle se tourne de trois quarts, en passant une main dans ses cheveux. Comme elle est désirable !
    
    Je passe ma langue sur son buste, en caressant son dos et ses flancs. Je découvre lentement le sein droit. Blanc, doux, tendre.
    
    Et toujours il y a cette musique qui joue dans ma tête alors que lentement, à la lumière du couchant, je découvre sa peau si douce.
    
    Le clapotis de l’eau contre les piliers nous met tous les deux en transe. Les soupirs qu’elle pousse, les sourires doux qui ourlent ses lèvres, me portent au sommet du bonheur, comme si j’atteignais un pic encore inconnu. Ce n’est ni l’extase, ni la jouissance, c’est le désir de la voir dans sa plus fragile et splendide beauté. Je suis à mille lieues d’une scène de sexe, je suis à mille lieues de tout jugement extérieur. Si quelqu’un nous voyait, je l’inviterais presque à regarder comment on aime. Je lui dirais : « Regarde et apprends. Regarde et aime ensuite comme j’aime ce corps et cet esprit. »
    
    Beauté et simplicité se mélangent aux traits de Sophie alors qu’elle pose son dos sur le bois mouillé et que sa tête s’étire vers l’arrière.
    
    Lentement je glisse dans l’eau chaude, lentement j’étire son pull pour dévoiler enfin à mes yeux qui elle est. Ma langue ne se languit pas de tourner un peu partout ...
    ... sur son ventre, de jouer avec chaque pore de sa peau, de distiller sur mes papilles la saveur de sa sueur.
    
    Au fur et à mesure que l’eau me berce, que je m’enfonce, je m’attarde sur une nouvelle parcelle, je découvre un nouveau parfum. Je défais lentement le bouton de son jean, je glisse mes doigts le long du rebord pour atteindre sa chair. Elle n’émet presque plus un son. Je crois qu’elle aussi, elle profite d’un moment de rare symbiose. Nous sommes au cœur d’un vortex, deux âmes perdues qui profitent du temps qu’il leur reste avant d’être engloutis.
    
    Elle se tortille voluptueusement pour que je fasse glisser loin de ses belles jambes le jean ingrat. Elle est encore nue, devant moi, moi qui me demande ce qui m’a permis la vue d’une aussi belle créature.
    
    Alors que j’embrasse le renflement du pubis, le ventre et les hanches, mes mains repartent le long de son corps. Mes doigts flottent sur sa peau satinée, vont chercher la bretelle qui cache à peine son épaule et descendent lentement.
    
    Sophie se cambre, pousse son corps vers moi. Je m’attarde d’une main sur ses seins, que délicatement j’empaume et je masse. L’autre main vient caresser l’intérieur puis l’arrière de sa cuisse, vient soulever sa jambe pour que je déguste sa peau.
    
    Je lâche doucement sa jambe qui replonge dans l’eau et j’en profite pour défaire mon jeans. Dans l’eau, mon sexe se tend lentement, puis je saisis ses hanches et la tire vers moi. Elle plonge face à moi dans l’eau avec un râlement. Ses lèvres ...