1. Black is black - Partie 1 : ma fête.


    Datte: 18/08/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Akileditu, Source: Hds

    ... m’a l’air bien conséquent en tous cas et légèrement vibrant… Voyant ça, son ami s’excite un peu plus et me fait glisser carrément le débardeur par-dessus la tête. Me voilà déjà presqu’à poils, entrain de rouler en pleine ville. Bah, il fait tellement chaud que ça doit choquer personne de voir quelqu’un torse nu dans une voiture. Par contre, il a entrepris de me faire des bisous mouillés dans le creux de l’épaule pendant que ses mains s’affolent sur mes pecs et mes abdos…En même temps, je sens les doigts d’Eddy qui se sont glissés sous le tissu du short et qui me caressent le slip intérieur, cherchant à se glisser dessous…J’espère qu’on ne va pas trop loin sinon on va finir dans un arbre !
    
    En parlant d’arbres, on arrive dans la forêt qui borde la ville. On roule un peu et on s’arrête sur un petit parking. On est la seule voiture. On se met à marcher et, très vite, on trouve un petit chemin très étroit qui s’enfonce dans la forêt. Ils ont l’air de bien connaître l’endroit. On marche en file indienne. Le copain d’Eddy - dont je ne connais pas encore le nom -, n’arrête pas de glisser sa main dans mon short pour me caresser le cul pendant qu’Eddy me caresse le paquet. Ils ont peut être peur que je me refroidisse ? Aucun danger avec ces deux gaillards qui ont l’air chauds comme la braise. Au bout de 5 minutes de marche, on arriva à une toute petite « clairière », un peu à l’écart du sentier, en fait une tache de mousse baignée de soleil. On entendait glouglouter un petit ...
    ... ruisseau tout proche. Splendide ! Tout ce que j’aime : la nature, le soleil, l’eau. Faire l’amour dans un endroit pareil a toujours été le pied suprême pour moi. Ils me firent allonger entre eux deux, à même la mousse. Ca allait être ma fête. J’aurais cru qu’ils allaient se précipiter comme deux loups affamés sur moi pour m’ôter le peu de choses qu’il restait à enlever - le short et les chaussures -, en fait, pas du tout. Je fus très surpris que ces deux solides gaillards aient des gestes aussi doux, aussi lents, aussi retenus, aussi maîtrisés pour faire monter le désir très très lentement. Du coup, je me mis à l’unisson et pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait de dévoiler leurs bites pour les admirer, les toucher, les goûter…Je caressais doucement le renflement de leurs shorts, je glissais ma main dessous, je sentis un très fin tissu - genre mousseline – qui moulait parfaitement des paquets « monstrueux ». Leurs couilles surtout me paraissaient énormes au toucher. Leurs bites avaient depuis longtemps débordé l’élastique de leurs mini slips. Il y en avait au moins autant dedans que dehors. Leurs glands étaient déjà super mouillés, signe d’excitation. Le mien aussi d’ailleurs. Finalement j’aimais bien cette situation : évaluer leurs bites au toucher avant même de les avoir vues. Excitant ! Ils s’y mirent a deux pour faire glisser mon short tout doucement. Eddy a glissé ses mains à plat sous le slip intérieur et le tire doucement vers le bas, Will a accroché l’élastique du ...
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