Black is black - Partie 1 : ma fête.
Datte: 18/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Akileditu, Source: Hds
Partie 1 : ma fête.
Un après midi de cet été, j’étais à la caisse du supermarché. J’attendais mon tour. Bizarrement, à cette heure là, les caisses étaient pas mal prises d’assaut, les gens étant venus se réapprovisionner en boissons, vu la chaleur. Je prenais mon mal en patience. C’est alors que je vis arriver deux caisses plus loin quelqu’un qu’on pouvait difficilement ignorer. Beau mec, très beau mec même, grand, bien bâti, noir. Sa tenue accrochait encore plus l’œil. Short court de toile vert foncé qui laissait admirer ses longues jambes fuselées et débardeur rose qui laissait deviner ses pecs et montrait ses bras musclés. Il souriait ( à la vie ? ), de toutes ses dents. C’est sûr que sa venue ne laissa personne indifférent, femmes comme hommes. Je remarquais beaucoup de regards à la dérobée. Nos regards se sont croisés une première fois, l’espace d’une seconde. Faut dire que, moi non plus, ma tenue était loin de passer inaperçue avec mon short de running en nylon vermillon ultra court et mon débardeur noir. Comme l’attente se prolongeait, nos regards se sont croisés à nouveau deux fois. Juste quelques secondes de trop à chaque fois. Sans aucune gêne mais plutôt avec du désir réciproque ai-je cru deviner. On s’était compris. Je fis mine de traîner un peu dans la galerie marchande. Très vite, il me rejoignit et me dit :
« -Tu suis moi. »
Je n’avais pas remarqué l’intonation de la question mais plutôt celle d’un ordre. Pour lui, c’était évident que j’allais le ...
... suivre. Pour moi aussi. On rejoignit sa voiture. J’avais compris qu’il n’était pas français et je lui dis. Il me répondit, en rigolant, et en français approximatif, que lui et son copain étaient américains. Ah ! Ils étaient deux. J’étais bien trop excité pour éprouver quelque appréhension. Je n’ai jamais refusé une rencontre, quelles que soient les circonstances. Il me fit monter à l’avant. Son ami - amant ? – étant à l’arrière. Copie conforme du premier, à part le tee shirt fluo. On aurait dit qu’ils étaient frères, tant ils se ressemblaient. Je décidais de faire comme si je ne comprenais pas l’anglais pour voir un peu ce qu’ils allaient se raconter entre eux…
« -Yeah, Eddy, we will score with such a hunk ! ( Hé, Eddy, on va sacrément baiser avec un bogosse pareil !)
-Will, he has an incredible bulge ! » ( Will, il a un sacré paquet !).
Je rigole en moi-même car j’ai tout compris. Je connais aussi leurs prénoms. Merci les gars !
On a à peine démarré que, déjà, son ami me caresse les cheveux doucement – il n’y a pas de repose tête dans cette voiture-. Très vite, il passe ses mains par l’encolure de mon débardeur et vient m’agacer les tétons. Eddy, le chauffeur, a lui aussi posé sa main sur ma cuisse et la glisse doucement vers mon short. Hé, ça démarre fort ! Du coup, je ne vais pas me priver pour vérifier une légende urbaine ( ?) à propos de la taille des bites des africains… Je pose direct ma main sur son paquet. Je le sens tressaillir. Ce que je sens sous mes doigts ...