Les secondes vacances de Léa - Histoires de Sexe

Les secondes vacances de Léa

... pas.

Nous nous attelâmes donc tous les cinq à remonter sa moto sur la route. Nous glissions et tombions régulièrement dans la boue. Nous l’avons remorquée avec une de nos motos qui, en patinant, nous a envoyé des gerbes de boue. Bref, ce fut l’enfer et quand, au bout d’une heure, la Harley fut enfin sur la route, nous étions des bonshommes de boue.

— Bonne Mère, quelle galère ! Heureusement que vous êtes arrivés. Je me présente, je m’appelle Robert Goupillo, Bob pour mes amis. Venez, j’ai une maison dans un village un peu plus loin. Je vous invite pour le temps que vous voudrez ; il faut vous réchauffer et vous laver.

Vu notre état, nous ne nous fîmes pas prier longtemps. De plus, le personnage, au deuxième abord, avait l’air sympa.

Une demi-heure plus tard nous arrivâmes chez lui. C’était une assez grande bâtisse ancienne avec une vue magnifique sur la montagne d’en face.

Nous nous déshabillâmes dans la buanderie et je réussis juste à me trouver un string et un tee-shirt à peu près secs. Les garçons et Rachel étaient dans la même situation.

Nous avions la chair de poule et je voyais les tétons de Rachel qui pointaient à travers son tee-shirt, je les lui pinçai doucement :

— Eh, on dirait que la situation te fait de l’effet !
— Arrête, je suis gelée, je suis pourrie et je n’ai plus de fringues, dit-elle en partant en sanglots.

Je la pris dans mes bras et la serrai contre moi pour essayer de la réconforter.

Heureusement, Bob nous prêta des pulls ...

... et comme c’était un grand gaillard, ça nous couvrait jusqu’à mi-cuisse. Il avait allumé la cheminée et il commençait à faire chaud dans le séjour. Il prépara des grogs et leur douce chaleur finit de nous réchauffer. Je vis que Rachel retrouvait son sourire et sa bonne humeur habituelle.

Il nous donna des serviettes et Rachel et moi investîmes la salle de bain. La douche était grande et nous la prîmes ensemble ; nous nous savonnions réciproquement et nos mains se firent baladeuses. Je lui pinçai ses gros tétons et sa réaction fut tout autre que tout à l’heure, elle commença à gémir et quand ma main descendit sur sa foufoune, elle écarta les cuisses pour me faciliter la tâche. Je lui introduisis deux doigts dans la chatte et commençai à faire des allers-retours de plus en plus rapides. En moins de cinq minutes je la sentis jouir dans ma main en poussant un couinement si caractéristique de ses orgasmes.

À son tour, elle s’empara de mon bouton d’amour et investit mon vagin et, comme elle, je craquai rapidement et criai ma jouissance ; sans doute le contrecoup de la tension accumulée aujourd’hui, me dis-je.

Quand nous sommes retournées dans le séjour, les garçons commencèrent à nous allumer gentiment.

— Il me semble que vous avez été bien longues les filles, nous lança Nico.
— Ouais, puis un peu bruyantes, rajouta Max.
— Bonne Mère, laissez les tranquilles, il fallait bien qu’elles se réchauffent, renchérit Bob.

Rachel :

— Pas du tout, c’est seulement que nous ...