1. Les secondes vacances de Léa


    Datte: 18/08/2020, Catégories: ff, 2couples, grp, grossexe, fépilée, vacances, intermast, Oral 69, fist, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, totalsexe, Auteur: Artemis, Source: Revebebe

    Résumé : Après avoir pris des vacances mouvementées aux Antilles, Léa choisit une autre destination.
    
    Nos dernières vacances remontaient déjà à quelques mois et Nico et moi commencions à avoir besoin de changer d’air. C’est ainsi qu’un soir avec Rachel et Maxime – le nouveau compagnon de Rachel – nous décidâmes d’une destination qu’aucun de nous ne connaissait : la Corse.
    
    Max, le copain de Rachel, était un grand blond aux yeux bleus, dans les 1,80 m et très mignon, même s’il était un peu baraqué à mon goût. C’était un passionné de moto et il nous proposa de faire la Corse en moto. C’est paraît-il une destination de rêve pour cela. Nico et moi avions bien une moto mais j’avoue que l’idée me laissait un peu perplexe étant donné le peu d’affaires que l’engin permettait d’emporter. Passer deux semaines avec deux jeans, un short, un pull et une légère robe d’été, c’était pas trop notre truc à Rachel et à moi, mais les garçons finirent par nous convaincre.
    
    Le départ se faisait de Marseille et, après une nuit de bateau, nous arrivâmes à Ajaccio. Là, nous prîmes au nord, direction Calvi.
    
    En ce début du mois de juin, le temps était maussade et la pluie se mêla bientôt à notre voyage et en Corse quand il pleut, il pleut ! Malgré nos tenues de pluie, nous ne tardâmes pas à être trempés et après deux heures de ce régime, nous décidâmes de nous arrêter dans un camping où nous louâmes un bungalow pour quatre.
    
    Le lendemain, le temps était encore couvert mais il ne ...
    ... pleuvait plus ; nous décidâmes donc de repartir. Arrivés à Porto, après une visite des calanques de Piana, nous nous dirigeâmes vers la forêt d’Aïtone au centre de la Corse.
    
    Bientôt la pluie recommença à tomber et pour nous, ce fut à nouveau la galère. Nous roulions doucement car la route était glissante et en plus, au coin d’un virage – ils étaient très nombreux – on risquait toujours de faire la rencontre d’un cochon ou d’une vache, sans compter les bouses qui transformaient la route en patinoire.
    
    Au bout d’un moment, devant nous, un énergumène qui se tenait au bord de la route nous fit de grands signes en nous voyant arriver. Je pensai immédiatement qu’il s’était trompé d’endroit et qu’il aurait dû être sur la route 66. C’était la caricature du biker avec les cheveux longs, la barbe et les tatouages, en plus il était couvert de boue ; bref, le mec qui te donne des frissons quand tu le croises le soir au coin d’une rue !
    
    Nous nous arrêtâmes pour voir ce qu’il voulait. Et là, il s’exclama :
    
    — Bonne mère, vous tombez bien, cette putain de vache m’a envoyé au tas et je n’arrive pas à remonter ma bécane (le tout avec un accent de Marseille à couper au couteau).
    
    Nous descendîmes de nos motos pour évaluer la situation. En fait, il avait fait un « tout droit » et, chance pour lui, il y avait un chemin forestier qui partait du virage et dans lequel il s’était embourbé.
    
    Nico qui commençait à rigoler de la situation,
    
    — On va te la remonter ta bécane, ne t’inquiète ...
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