1. Une divine surprise suite - 4


    Datte: 16/08/2020, Catégories: Première fois Auteur: Puceron, Source: Hds

    ... les articles. Les boites s’entassaient et je lui demandais :
    
    « Il faut descendre commencer à classer dans les rayons »
    
    Evelyne : « Il y a encore plusieurs tas ici, on va les descendre ensuite je viens »
    
    Moi : « Non, viens maintenant, je sens que je dois m’occuper de toi et ensuite on finira les cartons»
    
    Evelyne : « Tu veux t’occuper de moi ? »
    
    Moi : « Oui, tu en as envie »
    
    Evelyne : « Tu es bien présomptueux »
    
    Moi : « Non, j’ai humé le doux parfum de ta chatte dans ta petite culotte. C’est d’ailleurs pour ça que tu me l’as envoyée ? Descends »
    
    Evelyne : « Et que comptes tu faire, qui puisse me faire te rejoindre ? »
    
    Là, il ne fallait pas se dégonfler et je lui lançais : « Je vais te bouffer la chatte »
    
    Elle descendit. A peine en bas, elle bloqua le monte charge de façon à éviter une mauvaise surprise, j’en conclu que ma proposition la satisfaisait.
    
    Elle vint contre moi, on se scotcha et nos bouches se rejoignirent, nos langues se cherchèrent et surtout Evelyne avança ses hanches et se mirent à onduler contre moi. La réaction ne se fit pas attendre, une belle érection se prépara, ce qui me sembla fut apprécié par ma complice. Enfin Evelyne me dit : « Et que proposes-tu ?»
    
    Moi : « On va sur la table et je vais faire ce que je t’ai dit, car t’es descendu pour ça, te bouffer la chatte, tu m’as dit que tu aimais »
    
    En arrivant vers la table j’étais derrière Evelyne, je l’entourais de mes bras à la hauteur de ses seins et commençais à les ...
    ... caresser, elle avait mis son soutien quart de bonnet, qui laissait ses nénés pratiquement libres. J’aimais sentir leur souplesse dans le creux de mes mains.
    
    Moi : « Remontes ta jupe »
    
    Evelyne : « Non, fais le toi, j’aimerais sentir que tu me déshabilles »
    
    Ce que j’entrepris de faire. Ce n’était pas facile avec ces foutus jupes droites et collantes, elles étaient agréables à voir quand elles étaient bien portées, mais les enlevées, galère.
    
    Enfin j’y arrivais, la jupe lui servant alors de ceinture, et pendant ce temps, elle se caresser les seins et ondulait des hanches ou plutôt du cul. N’y tenant plus, la retournant je la poussais à s’asseoir sur la table et la basculant, elle écarta les cuisses et me permit d’avoir accès à sa chatte, aux grosses lèvres gonflées, chaudes et ruisselantes. Je m’empressais de plonger entre ses cuisses et de m’attaquer goulument à son abricot ouvert et accueillant. Les réactions ne se firent pas attendre, de toutes les façons elle était chaude et coulante au possible.
    
    « Oui, …, ta langue, … ohhhh que c’es bon, …, OUIIIII, encore,… rentres, je te sens me prendre, …, ta langue me donne du plaisir, … ». Mais tout cela entrainait une augmentation très nette à l’intérieur de ma braguette. Il fallait faire quelque chose, je lui dis : « Tournes toi, montres moi ton joli cul ». Sans hésitation elle se retourna et s’appuya sur la table, son joli cul bien en évidence, les reins bien cambrés. Je me remis à lui sucer la moule, qui coulait ...