1. Une divine surprise suite - 4


    Datte: 16/08/2020, Catégories: Première fois Auteur: Puceron, Source: Hds

    ... au plus profond d’elle, heureusement au moment ou n’y tenant plus je lâchais tout, elle eut la gentillesse de jouir en ayant un spasme qui la fit se contracter et serrer les jambes, ce qui m’éjecta loin de sa jolie chatte. Elle se reprit rapidement, ferma corsage, rabattit sa jupe et fila vers le coin toilette en fond de sous sol. Je l’attendis pour remonter, n’ayant aucune idée du temps passé à , …, ranger les cartons.
    
    Avant que le monte charge nous remonte, Evelyne se colla à moi et me dit « j’ai aimé,.., Je suis complétement folle, … je ne me comprends pas, … »
    
    Arrivé en haut je dis alors à Evelyne : « La dernière fois tu m’avais offert le café, c’est à moi de te l’offrir, si tu as le temps». Evelyne décida : Il y a trop de travail au magasin pour laisser Odile seule. Mais rendez-vous samedi prochain à 2,00 heures et tu passeras par derrière, car le magasin n’ouvre qu’à 15,00 heures »
    
    Samedi 13 août 1960 – Rangement au magasin
    
    J’arrivais vers 14,00 h et sonnais à l’arrière, c’est Evelyne qui vint ouvrir, avec un doigt sur les lèvres pour me faire signe de me taire. En fait, le patron, sa femme, son fils, et Odile étaient dans la boutique, il fallait faire attention, de façon à éviter des ennuis à Evelyne. L’arrière de la boutique était envahi de cartons, sur plusieurs niveaux. Cependant alors que l’on se déplaçait vers la boutique, Evelyne réussi à passer à coté de moi et discrètement posa sa main sur ma braguette et serra 2 ou trois fois ce qu’elle avait ...
    ... trouvé, ce qui entraina une érection en réaction. Après les civilisations habituelles on se mit au travail, Evelyne entassait les colis sur le monte charge, celui-ci descendait j’enlevais les cartons. A un moment alors que je dégageais les cartons, je jetais un regard à l’étage et je voyais Evelyne au bord du trou, la jupe droite tendue par des jambes bien écartées, ce qui attira mon regard. Mais je me remettais au boulot, en revenant la position était la même, mais Evelyne avait la tête légèrement penchée et me dit « Alors tu te rinces l’œil ».
    
    Je savais qu’avec elle, il ne fallait pas se dégonfler et je lui répondais : « Impossible, c’est trop sombre »
    
    Elle répliqua : « C’est possible, attends, … » et sans hésiter elle remonta sa jupe et enleva sa petite culotte qu’elle m’envoya : « Tu auras une meilleure vue ainsi , … et tu pourras me sentir, »
    
    Je reniflais son odeur, ce qui m’amena à certaines pensées excitantes. Puis je mis la petite culotte dans ma poche en lui disant : « Je la garde, …, comme ça je pourrais penser à toi, .. »
    
    « Non, il faudra me la rendre, je ne peux pas rentrer chez moi, ainsi, les fesses à l’air »
    
    « On verra, il faut que tu descendes »
    
    Et on continua le travail et chaque fois que le monte charge était en bas, je pouvais lever les yeux, Evelyne était au bord du trou, les jambes bien ouvertes, malheureusement sous la jupe c’était encore trop sombre, mais cela n’empêchait pas d’imaginer et de penser au moment où elle descendrait pour ranger ...
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