1. L'inceste


    Datte: 15/04/2018, Catégories: f, h, hplusag, hagé, religion, fsoumise, hdomine, massage, Oral Auteur: Jane Does, Source: Revebebe

    ... jeunesse, c’est comme les fleurs, tu vois, un jour ça fane et puis ça meurt !
    — Oh, mon père… je vous trouve bien pessimiste…
    — Mais non ! Je suis réaliste, voilà tout ! Et voir une si jolie frimousse me rappelle cruellement que la vie est derrière moi.
    — Vous êtes donc, frère Dominique !
    — Oui ! Mais comme pour les deux autres… oublies donc le « frère » et le « vous ». Tu sais ici nous sommes seulement des serviteurs… et nous n’avons de compte à rendre qu’à Dieu. Ce n’est pas pécher que tutoyer ou appeler par leur prénom les gens proches.
    
    Louise n’avait rien dit, seulement baissé la tête. Elle découvrait une autre facette de cette approche de son vénéré Bon Dieu. Elle fit donc la connaissance d’Aristide et s’enquit des nombreuses tâches journalières qu’elle aurait à effectuer quotidiennement. Sa première nuit fut peuplée de ses craintes, de ces bruits inhabituels pour elle, et les heures qui défilaient la virent toutes éveillée. Au matin du jour suivant, avant même que chante le coq, la jeune femme préparait le café pour les travailleurs.
    
    Seuls Aristide et Daniel étaient présents autour de la table. Le troisième plus âgé gardait la chambre un peu plus longuement. Puis Daniel au moment de rejoindre les champs vint vers elle.
    
    — Louise, tu iras de temps en temps voir notre frère. Dominique est très fatigué et a beaucoup de mal à se vêtir. Tu devras peut-être l’aider dans cette simple tâche ! J’espère qu’elle ne te dérangera pas trop.
    — … ! Non, mon…
    — Daniel ...
    ... suffira, il faut t’y faire.
    — Bien… Comptez sur moi Daniel pour aider Dominique.
    
    Les deux étaient partis au levant d’un soleil qui annonçait la couleur. Alors Louise commença son apprentissage. Celui d’un travail au service de trois hommes. Pour être ceux de son Dieu, ils n’en restaient pas moins terrestres. Elle aida donc le plus âgé, d’abord pour se lever, puis pour les tâches domestiques. Assis la plupart du temps, il se contentait de garder les yeux fermés, comme s’il priait en permanence. Mais elle surprenait parfois les regards appuyés de ce vieillard qui demeurait mâle dans ses pensées.
    
    Elle dut à plusieurs reprises l’aider à se relever pour se rendre à divers endroits de la maison. Les jours qui suivirent, elle finit par s’adapter à des tâches nouvelles pour elle. Puis un matin que les deux autres étaient partis, Dominique l’appela. Il était encore couché dans son lit. D’une voix faible, il lui demanda humblement.
    
    — Louise, je suis très fatigué. Si tu pouvais juste me donner un peu de café…
    — Vous voulez que je vous apporte votre petit déjeuner au lit ? Je vois bien que vous n’êtes pas très en forme.
    — Oh ! Juste du café, Louise. Et puis un gant de toilette et de l’eau. Je voudrais faire un brin de toilette.
    — Mais… un brin de toilette… si vous restez au lit…
    — Oui, mais je tiens à être propre et net, quand le seigneur me rappellera à lui, et je ne sais pas le moment qu’il choisira.
    — Bon, c’est entendu !
    
    Elle avait fait ce que l’autre avait demandé. ...
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