TEMPS PARTIEL
Datte: 15/08/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... savait que je ne pouvais rien y faire.
"Qu'est-ce que tu veux de moi?" J'ai dit avec autant de dignité que je pouvais rassembler.
Sans cesser de sourire, il m'a dit: "Eh bien, je suppose que ton mari n'est pas au courant de tes activités quand il s'absente et je suppose que tu préfères que cela reste secret. Je peux garder cela juste entre nous, en échange d'un peu de gentillesse!?"
C'est ce que je craignais. Ce bâtard dégénéré en voulait à mon cul. Je ne parvenais à imaginer quelque chose de plus dégradant que de me faire baiser par ce sale type. Mais que pouvais-je faire d'autre? Il avait des preuves!
"Alors, laisse-moi préciser ta demande. Tu veux me baiser, gratuitement, en échange pas un mot à mon mari?"
"Ouais, ta proposition me plaît bien. Puisque c'est toi qui l'a faite, j'accepte avec joie!"
Son sourire prétentieux me tapait sur les nerfs: "OK, je vais y réfléchir ..."
Là, il ne souriait plus...
"Euh, chérie, tu n'as pas besoin "d'y réfléchir", pétasse! Tu vas faire ce que tu sais faire, c'est-à-dire la pute, et tu vas le faire avec moi gratuitement. Et tu sais quoi, on va faire un arrangement hebdomadaire. Pas la peine de dépenser mon fric pour un truc que je peux avoir pour rien. Je sais que tu gagnes beaucoup d'argent. Je sais que tu es en combine et je sais avec qui... Alors, ne m'oblige pas à faire le méchant!"
Mon cœur s'est effondré, j'étais prise au piège. Il s'est levé, a mis de la musique, et s'est tourné vers moi:
"On va ...
... danser un peu, que je hume ton fumet, voir si tu sens bon!?"
Il avait mis un slow sirupeux, il m'a plaqué contre lui, ses mains sur mes fesses, frottant son ventre contre le mien.
Sa bouche s'est emparée de la mienne, son haleine était fétide, il a mis sa langue dans ma bouche, malgré mon envie de vomir j'ai fait semblant d'aimer çà... Sur ce, il a laissé tomber son pantalon de jogging crasseux pour montrer sa bite tout aussi dégueulasse:
"Viens, ma puce, mets-toi à genoux et suce-moi, chérie..."
C'est ainsi que commença le long chemin de ma dégradation avec ce salopard qui me faisait venir chez lui, principalement juste au moment ou un client s'en allait, car il prétendait qu'il aimait me prendre toute chaude à la sortie du lit.
Visiblement, il a passé du temps à guetter derrière ses rideaux.
Je me suis agenouillée, et j'ai essayé de ne pas penser à ce qui m'attendait. Il a écarté les jambes pour être bien positionné:
"Allez, chérie, ouvre bien grand ta sale gueule de pute. Sois douce. Sois bonne. Sois une bonne pute. N'oublie pas, si je ne suis pas content de tes services, je serai obligé d'aller parler à ton mari..."
Je ne l'ai plus écouté. J'ai simplement fais ce que je sais faire le mieux, faire grossir et raidir sa bite en le masturbant.
J'ai été un peu surprise par les dimensions. Il avait vraiment une grosse bite et j'avais du mal à refermer ma bouche autour.
Comparé à la variété de bites que j'avais traitées au cours des derniers mois, il ...