1. Messaline


    Datte: 15/08/2020, Catégories: fhhh, couleurs, fdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... le plus gros : c’est donc lui qu’elle chevaucherait. Elle réservait le membre fin et long du Celte à son fondement. Quant au Germain, elle lui ferait l’honneur de sa bouche. Elle soutiendrait leurs assauts. Mais comment résister à la douleur ? Et peut-être au plaisir ?
    
    Elle s’empala sur le sexe du Nubien en gémissant, mais ce ne fut rien à côté de la pénétration que lui fit subir le guerrier celte. Il s’enfonça dans ses reins d’un seul coup, la faisant hurler. Prise par deux hommes en même temps, Livia semblait ballottée comme une simple poupée de chiffon. Elle arrêta de crier quand Le Germain vint bâillonner sa jolie bouche avec sa verge qu’il donna à sucer. Les trois gladiateurs la besognaient comme des brutes, malaxant ses seins délicats entre leurs doigts noueux, tout à leur plaisir. Les yeux fermés, elle se concentrait sur cette queue germanique qui ne cessait d’entrer et sortir de sa bouche, accompagnée de longs filets de salive.
    
    Messaline en concevait une immense jouissance, et son propre sexe devenait de plus en plus humide devant le spectacle de cette femelle blonde dont les entrées étaient forcées de tous les côtés. Elle se tourna vers Priscus :
    
    — Ton épouse se bat avec vaillance ; tu mérites d’en être récompensé. Viens près de moi.
    
    Priscus ne pouvait faire autrement. Sa femme ne risquait rien au final, mais lui pouvait y laisser sa tête. Il vint s’incliner devant sa souveraine. Messaline ne manqua pas de prêter attention à la bosse qui marquait le bas ...
    ... de la toge.
    
    — Est-ce le spectacle qui t’excite, ou moi ? Les deux, peut-être…
    
    Soulevant le tissu, elle entreprit de caresser la verge qu’elle sentait dure et lourde entre ses doigts. Comme Livia, Priscus fut obligé de se mettre nu. Son corps de soldat, aussi couturé de cicatrices que celui des gladiateurs, émut l’impératrice qui en conçut une pointe de jalousie : son mari n’était plus qu’un vieillard sénile, bègue et lâche. Elle commença à le caresser puis l’emboucha d’un coup. Priscus n’en pouvait plus ; il lâcha tout dans la gorge impériale, aussi incapable de se contrôler que les gladiateurs face à sa femme.
    
    Sur la couche, le combat évoluait. Le Celte avait joui également et le Sarmate l’avait remplacé aussitôt. L’anus dilaté de la jeune femme l’avait accueilli sans grande difficulté. Livia avait entrepris de remuer ses hanches afin d’en finir plus vite. Le Nubien l’inonda à son tour, suivi du Sarmate. Restait le Germain.
    
    Débarrassée du poids de la double pénétration, elle entreprit une fellation profonde tout en le masturbant furieusement. Sa langue s’enroulait autour du pénis comme un serpent, ses doigts couraient sur la peau du pénis et du ventre. Le barbare soufflait comme une forge, puis il explosa à son tour. Livia le garda en bouche jusqu’au bout, nettoyant avec sa langue la moindre goutte de sperme, jusque dans ses poils pubiens, et rendit un membre aussi propre qu’au début du banquet.
    
    Ce ne fut pas une ovation, mais un rugissement qui salua la fin de ...